Zum Inhalt springen

Geographie der Schweiz

aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Dies ist eine alte Version dieser Seite, zuletzt bearbeitet am 12. Oktober 2008 um 19:17 Uhr durch Ludo29 (Diskussion | Beiträge) (Le plateau: ++). Sie kann sich erheblich von der aktuellen Version unterscheiden.

Vorlage:Infobox Géographique (pays) La Suisse est un pays d'Europe occidentale[1]. Elle est entourée par cinq pays l'Autriche et le Liechtenstein à l'est, l'Allemagne au nord, la France à l'ouest et l'Italie au sud et ne dispose pas d'accès à la mer.

Le relief de la Suisse, très hétérogène, est né de la collision des plaques tectoniques eurasienne et africaine. Cette collision, ou orogenèse, a aboutit à la formation des trois grandes structures géographiques du pays : les Alpes, le plateau et le Jura. La topographie des Alpes et les conditions climatiques y régnant font de la Suisse le Château d'eau de l'Europe. Le Rhin, le Rhône et des affluents du Danube et du prennent leurs sources dans le massif du Saint-Gothard, massif des Alpes duquel s'écoulent de nombreux glaciers notamment le glacier d'Aletsch, plus grand glacier d'Europe.

Le relief de la Suisse a modelé la répartition de la population, ainsi l'essentiel des grandes villes se sont développées sur le plateau.

Géographie physique

Géologie

Vorlage:Article détaillé

Trois grandes régions distinctes

Les trois grandes régions suisses.
  • Jura
  • Plateau suisse
  • Alpes
  • La Suisse comprend trois grandes régions géologiques; les Alpes, le Jura et le plateau suisse, cependant deux petites régions sont exclues de ce découpage. Au nord, la région de Bâle est située au delà du Jura sur la faille tectonique du fossé rhénan. Au sud, la région de Mendrisiotto est située au delà du versant sud des Alpes dans la plaine du Pô. Vorlage:Clr

    Les Alpes

    Grosse Scheidegg, Alpes bernoises

    Les Alpes suisses occupent la plus grande partie du pays, en couvrant environ Vorlage:Unité du territoire. Elles occupent toute la partie sud du pays. Elles s'élèvent progressivement des préalpes calcaires aux Alpes cristallines. Altitude moyenne : 1700 mètres. De nombreux sommets de plus de 4000 mètres sont situés sur le territoire helvétique. Trois massifs faisant partie des Alpes centrales se dégagent :

    Ces deux derniers ensembles délimitent le Valais, occupé par la vallée du Rhône.

    Le massif du Saint-Gothard marque ce que l'on peut considérer comme le centre des Alpes, séparant les Alpes occidentales (cantons du Valais, de Vaud et de Berne) et les Alpes orientales qui commencent dans les Grisons. Avec le canton germanophone d'Uri au nord et le canton italophone du Tessin au sud, c'est un point de passage important et historique entre l'Allemagne et l'Italie.

    Le Tessin, la région du Simplon en Valais et quelques vallées des Grisons, sont les seules régions du pays ouvertes sur le sud des Alpes et la plaine du Pô en Italie. La principale ville est Lugano.

    Désignation et répartition des massifs alpins en Suisse
    Localisation Surface / total de la Suisse (somme = 62,5%) Désignation du massif
    Versant nord des Alpes 27,8% Alpes bernoises, Alpes uranaises, Alpes glaronaises et Préalpes appenzelloises
    Alpes centrales occidentales 11,7% Alpes valaisannes
    Alpes centrales orientales 14,1% Alpes rhétiques
    Versant sud des Alpes 8,9% Alpes lépontines

    Vorlage:Clr

    Le Jura

    Montmelon, Jura

    Le Massif du Jura est situé sur trois pays, l'Allemagne, la France et la Suisse. Il forme un arc de cercle incurvé vers l'intérieur du pays depuis le canton de Genève au sud-ouest jusqu'au canton de Schaffhouse au nord-est. Cette chaîne longue de 300 kilomètres délimite en partie la frontière entre la France et la Suisse. Au plus large, entre Besançon et Neuchâtel elle mesure moins de Vorlage:Unité[2]. Dans sa partie suisse, le massif du Jura couvre environ Vorlage:Unité du territoire national[3]. Le point culminant du massif, le Crêt de la Neige (Vorlage:Unité), est situé en France à proximité de Genève, le Mont Tendre Vorlage:Unité) étant le plus haut sommet sur le territoire suisse. L'altitude moyenne du massif décroit depuis le sud-ouest vers le nord-est[4].

    Le Jura s'est formé par une poussée des Alpes depuis le sud-est vers le nord-ouest, cette poussée ayant été freiné à divers endroits par d'autres massifs existant précédemment : le Massif central et les Vosges en France, la Forêt-Noire en Allemagne. Cette poussée des Alpes sur le Jura et donc la poussée du Jura sur ces trois massifs à créés des fossés d'effondrements : bassin Rhône-Saône entre Massif central et Vosges, le Haut-Rhin entre Vosges et Forêt-Noire[5]. La poussée des Alpes n'a toutefois pas affecté toutes les régions de la même façon ni en même temps. Ainsi, trois types de paysages différents sont présents dans le Jura : le Jura des chaînes ou Jura plissé, le Jura des plateaux ou des rides et le Jura tabulaire ou des failles[6].

    Le Jura plissé est le type de paysage du Jura le plus présent en Suisse, il est d'ailleurs relativement peu présent en France. Ces paysages se caractérisent par des chaînes importantes, parallèles, séparées les unes des autres par des vallées appelées vaux[7]. La vallée de Joux est une de ces vallées longitunales du Jura plissé. Il existe aussi de petites vallées transversales, reliant deux vaux à travers une chaîne, on parle dans ce cas de cluse, comme par exemple avec la cluse de Moutier au nord-est de la ville de Moutier. Ces cluses ont leurs origines avant le plissement du Jura, il s'agit des cours des rivières avant la formation du massif. Le Jura s'est élevé lentement, ces rivières ont pu par érosion conserver leurs cours.

    Le Jura des plateaux est principalement présent en France. Il s'agit de paysages de plateaux généralement peu ondulés. En Suisse, on le retrouve dans la région des Franches-Montagnes dans le canton du Jura.

    Le Jura tabulaire est principalement situé dans l'extrême nord du canton du Jura et à l'ouest de Bâle dans le nord de l'Argovie. Contrairement aux deux autres paysages jurassiens le Jura tabulaire ne s'est pas plissé, mais de nombreux failles ont créé des hauts plateaux en forme de tables avec des versants aux pentes raides pour descendre dans les vallées aux formes de caisses. Les régions de l'Ajoie] et du Jura bâlois en sont représentatives[8].

    De part la nature karstique du sol fait que l'écoulement d'eau se fait principalement de façon souterraine. Ainsi, les paysages jurassiens sont globalement moins marqués par les effets de l'érosion que ne peuvent l'être ceux des Alpes.

    Le plateau

    Vue du Mont Pilatus sur le plateau suisse près de Lucerne

    Le plateau Vorlage:En de est parfois aussi appelé "Moyen Pays"[9], traduction littérale du terme allemand. Il est situé entre les deux chaines de montagnes que sont les Alpes et le Jura. Il est principalement situé en Suisse, néanmoins il se poursuit un peu au sud de Genève pour rétrécir et disparaitre dans la région de [[Chambéry], où les Alpes et le Jura convergent. À l'est le plateau se poursuit au delà du lac de Constance en Allemagne et en Autriche[10]. Il occupe environ Vorlage:Unité de la surface du pays, et mesure Vorlage:Unité entre Genève et lac de Constance. Le plateau se situe entre 350 et 600 mètres d'altitude. La région la plus élevée du plateau se situe dans le sud du canton de Fribourg au pied des préalpes fribourgeoises sur la ligne de partage des eaux entre Rhin et Rhône. L'altitude la plus basse se situe à Brugg au niveau de la confluence de l'Aar avec le Rhin[11].

    Il s'agit d'un plateau dont le relief légèrement accidenté est marqué par la présence de nombreuses collines. L'hydrologie a joué un grand rôle dans la formation des différents paysages du plateau. De nombreux cours d'eau prennent leurs sources dans les Alpes et parcourent le plateau du sud vers le nord. L'érosion provoquée par ces cours d'eau a façonnée de nombreux paysages.

    Le plateau est principalement formé de molasse. Cette roche sédimentaire a été formé pendant près de Vorlage:Unité d'années par l'érosion des Alpes naissantes[12]. Le matériel alluvionnaire le plus grossier resta au pied des Alpes, les dépôts les plus fins étant transporté plus loin[13].

    Le plateau a été recouvert par des débris torrentiels et des moraines glaciaires. De nombreux lacs se sont formés suite au retrait des glaciers (glaciation de Würm). Actuellement, formé principalement de collines, son altitude moyenne varie entre 400 et 600 m. Il s'étend sur toute la longueur du pays, formant un axe allant du lac Léman au sud-ouest au lac de Constance au nord-est. Le plateau suisse est la région la plus densément peuplée et abrite la grande majorité de la population du pays. Vorlage:Clr

    Hydrologie

    Vorlage:Article détaillé

    La Suisse est située sur les bassins versants de cinq fleuves européens : le Rhin et le Rhône qui prennent leur source en Suisse au massif du Saint-Gothard ainsi que le Danube, le et l'Adige.

    Bassin versant Pourcentage de la superficie de la Suisse Principaux affluents en Suisse Se jette dans
    Rhin 59 % Aar, Reuss Mer du Nord dans un delta aux Pays-Bas
    Rhône 24,5 % Doubs Mer Méditerranée dans un delta (la Camargue) en France
    10,5 % Ticino Mer Méditerranée dans un delta au nord-est de l'Italie
    Danube 5,7 % Inn Mer Noire
    Adige 0,3 % Rom Mer Méditerranée

    Le bassin versant du Rhin couvre la plus grande partie du pays et celui du Rhône couvre le Valais, la partie sud du canton de Vaud, Genève et une partie du canton du Jura. Cependant, des régions de Suisse appartiennent aussi aux bassins du Danube (la haute vallée de l'Inn dans les Grisons), du et de l'Adige en Italie (le canton du Tessin avec notamment la rivière Tessin mais aussi quelques petites vallées des Grisons, avec les rivières Poschiavino, Maira et Rom (Val Müstair) ainsi que la vallée du Simplon en Valais avec la rivière Diveria).

    Ainsi les eaux coulant en Suisse peuvent se diriger vers la mer du Nord, la mer Méditerranée occidentale, la mer Adriatique ou la mer Noire. Pour cette raison, on parle parfois de la région du Gothard comme du « château d'eau de l'Europe ».

    mer du Nord mer Méditerranée mer Adriatique mer Noire
    Rhin Rhône, Doubs Tessin Inn

    Lacs

    Le lac des Quatre Cantons avec le Mythen au fond
    Les Chutes du Rhin près de Schaffhouse
    L'Aar à Aarburg

    La Suisse abrite de nombreux lacs alpins ou de plaine.

    Les deux plus grands lacs sont situés en plaine aux extrémités du plateau suisse. Ce sont le lac Léman (580.03 kmVorlage:2 partagés avec la France) et le lac de Constance ( 536.00 kmVorlage:2 partagés avec l'Allemagne et l'Autriche).

    Le lac Majeur, troisième par sa superficie, est situé au sud des Alpes ( 212.00 kmVorlage:2 partagés avec l'Italie).

    Le lac de Neuchâtel est, avec ses 217,9 kmVorlage:2, le plus grand lac entièrement située en Suisse.

    Parmi les nombreux lacs de montagne on peut distinguer les lacs naturels de ceux de barrage. Exemples de lacs naturels de caractéristiques différentes:

    Les très nombreux lacs de barrage, artificiels, sont les lacs d'accumulation destinés à la production d'électricité à base de l'énergie hydraulique. Exemples :

    Voir aussi :

    Cours d'eau

    Au massif du Saint-Gothard, c'est de la confluence de deux rivières (nommées Rhin Antérieur et Rhin Postérieur) d'une part et, d'autre part, avec le glacier du Rhône que prennent source deux des plus importants fleuves d'Europe de l'Ouest : le Rhin et le Rhône. Chacun d'eux traverse un grand lac frontalier : le lac de Constance pour le Rhin et le lac Léman pour le Rhône.

    • L'Aar est la plus grande rivière entièrement située en Suisse (longueur : 295 km / bassin : 43% du territoire). Elle se jette dans le Rhin, près de Koblenz. Son débit (557 m³/s) est alors supérieur à celui du Rhin (439 m³/s). Son cours a subi une déviation en 1868 (voir Correction des eaux du Jura) pour éviter l'inondation du Seeland marécageux.
    • La Birse est la plus importante rivière du Jura suisse.
    • La Sarine est une rivière qui forme, en partie, la frontière linguistique à Fribourg, séparant la Suisse romande francophone, à l'ouest, de la Suisse alémanique germanophone, à l'est.

    Voir aussi :

    Climat

    Les paramètres métérologiques sont régulièrement mesurés par les autorités fédérales depuis 1864[14].

    Les Alpes forment une barrière. Au nord, dans la majeure partie du pays, le climat général est tempéré, océanique ou continental selon l'orientation est-ouest des vents, et les quatre saisons sont bien marquées. Le sud des Alpes (Valais, Tessin et Engadine) bénéficie d'un climat doux méditerranéen.

    Les vents principaux sont le fœhn et la bise.

    C'est un pays de contrastes et de nombreux micro-climats en raison de la topographie.

    Les précipitations sont très fortes dans les Alpes et au Tessin (2000 mm/an ou plus) mais très faible dans la vallée du Rhône (600 mm/an)

    Le Valais et le Tessin bénéficient d'un ensoleillement important durant toute l'année (60%) alors que le plateau suisse avec un taux de 50% en été voit l'ensoleillement chuter à 20% en hiver.

    Alpes valaisannes

    Les normales

    Les températures dépendent en premier lieu de l'altitude. un réseau de stations d'observations météorologiques couvre le pays :

    • La température moyenne sur le plateau suisse est en janvier de -1 à +1°C. et en juillet de +16 à +19°C. La température moyenne annuelle est de +7 à +9°C.
    • Locarno-Monti a la température moyenne annuelle la plus élevée avec +11,5°C.
    • Le Jungfraujoch a la température moyenne annuelle la plus faible avec -7,5°C.

    Pour une altitude identique, la température de la région Bâloise ainsi que la vallée du Rhône est 1 à 2°C plus élevée et la Plaine de Magadino au Tessin 2 à 3°C plus élevée que celle du plateau suisse.

    Diversité climatique [15]
    lieu altitude de la station précipitations annuelles moyennes Durée d'insolation moyenne en août Durée d'insolation moyenne en décembre température max. mensuel moyen température min. mensuel moyen
    La Chaux-de-Fonds (massif du Jura) 1018 m 1410 mm/an 40% 40% +19,6°C -6,4°C
    Berne, plateau suisse 565 m 1040 mm/an 50% 20% +23,5°C -3,9°C
    Sion (Valais, vallée du Rhône) 482 m 600 mm/an 60% 50% +25,7°C -4,8°C
    Säntis (Appenzell, préalpes à l'est du pays) 2490 m 2900 mm/an 55% 30% +7,5°C -10,3°C
    Locarno-Monti (Tessin, sud des Alpes) 366 m 1850 mm/an 60% 60% +25,9°C +0,1°C
    Lugano

    Les extrêmes

    Quelques faits [16]:

    • Record absolu de température la plus élevée : + 41,5°C à Grono (Grisons) le 11 août 2003.
    • Record absolu de température la plus faible : - 41,8°C La Brévine (Neuchâtel) le 12 janvier 1987.
    • Hauteur maximum de neige : 816 cm sur le Säntis en avril 1999.
    • Pluviométrie maximum en 1 journée : 414 mm à Camedo (Tessin) le 10 septembre 1983.
    • Plus longue sécheresse : à Lugano, 77 jours à partir du 6 décembre 1988.
    • Plus forte rafale de vent : 285 km/h sur le Jungfraujoch le 27 février 1990.

    La Brévine située dans le Jura, à 1043 m d'altitude, est l'endroit le plus froid du pays en raison d'un micro-climat. La température peut atteindre -30°C certaines nuits sans nuage et sans vent.

    Les phénomènes météorologiques et morphologiques

    Le glacier d'Aletsch

    Tectonique : La région Bâloise (fossé Rhénan) et le Valais sont les deux régions avec la plus grande activité sismique. La ville de Bâle a été détruite le 18 octobre 1356 par un séisme

    Climatique : Le réchauffement climatique provoque dans les Alpes le recul des glaciers. Le Pergélisol fond, les roches deviennent instables et provoquent des éboulements. [17]

    En moyenne altitude la couverture neigeuse tends à baisser.

    Météorologique : Les inondations dues aux rivières sortant de leur lit (par exemple à Brigue le 24 septembre 1993) et les avalanches de neige sont fréquents dans les régions montagneuses.

    La grêle et le brouillard sont les phénomènes affectant surtout le plateau suisse.

    Faune et flore

    Vorlage:...

    Forêts

    Selon l'Office fédéral de l'environnement et de l'Institut fédéral suisse de recherches sur la forêt, la neige et le paysage, en 2007, la forêt suisse recouvre une surface de 1,27 million d'hectares, soit environ un tiers du territoire suisse (31%). L'évolution depuis 1995 est une progression de 4,9% dont pour les Alpes (9%) et le Jura (2%). Cette forte expansion s'explique du fait de l'avancement de la forêt sur les terres non exploitées.

    Le volume total de bois est d'environ 420 millions de mètres cube.[18]

    Géographie humaine

    Vorlage:Citation bloc

    Découpage administratif

    La Suisse est composée de 26 États souverains appelés cantons[19], qui sont à leur tour découpés en communes, la Suisse compte plus de 2.700 communes[20].

    Dans la majorité des cantons, à l'exception de ceux peu étendus d'Uri, Obwald, Nidwald, Glaris, Zoug, Bâle-Ville, Appenzell Rhodes-Extérieures et Genève, un découpage intermédiaire sous forme de districts, appelés Bezirk, Amt ou Amtsbezirk en allemand selon les cantons, sert de contrôle et d'exécution entre l'État et les communes; ces entités intermédiaires ne sont qu'administratives, judiciaires ou électorales et ne disposent d'aucune autonomie politique[21].

    Depuis 1999 la suisse est statistiquement découpée en 7 grandes régions[22] pouvant regrouper plusieurs cantons. Elles sont équivalentes aux régions NUTS 2 d'Eurostat (office statistique de l'Union européenne). Correspondant à un échelon obligatoire pour la statistique suisse depuis leur création, elles ne représentent toutefois pas une unité institutionnelle en tant que tel. À des fins d'analyse et de comparaisons nationales et internationales, l'Office fédéral de la statistique utilise plusieurs autres niveaux géographiques liés à la politique territoriale, à des régions d'analyse ou aux typologies territoriales[23].

    Voir aussi :

    Typologie du territoire

    On peut distinguer cinq typologies de territoire [24]

    Les régions métropolitaines Les réseaux de villes Les zones calmes Les zones touristiques alpines Les friches alpines
    Genève

    Les régions métropolitaines (ou aires urbaines) sont au nombre de trois :

    1. Zurich
    2. Genève – Lausanne
    3. Bâle

    Les réseaux de villes

    Des villes proches l'une de l'autre et liées par un dénominateur commun :

    • Autour du lac de Constance en Suisse, en Allemagne et en Autriche : Kreuzlingen, Constance, Friedrichshafen, Bregenz, Lustenau, Dornbirn, Arbon, Romanshorn, Saint-Gall.
    • Suisse centrale, autour du lac des quatre cantons : Lucerne, Zoug, Schwyz, Brunnen, Altdorf, Buochs, Stans, Sarnen.
    • Le Tessin : Bellinzone, Locarno et Lugano avec Como et Varese en Italie.
    • Le Valais, le long du Rhône : Brig, Sierre, Sion, Martigny, Monthey.
    • Autour de Berne, une région bilingue français - allemand : Thoune, Fribourg, Neuchâtel, Bienne, Soleure, Burgdorf et Berne.
    • Le long de l'Aar : Bienne, Granges, Soleure, Langenthal, Olten, Aarau.

    Les zones calmes

    Principalement le Jura, les zones rurales du Gros de Vaud et du Pays de Gruyère à l'ouest, l'Entlebuch et l'Emmental au centre et l'Appenzell – Thurgovie au nord-est de la Suisse.

    Les zones touristiques alpines

    Les villes temporaires à population variable selon les saisons, par exemple : Davos, Saint-Moritz, Interlaken et région, Gstaad, Montana, Zermatt, Verbier.

    Les friches alpines

    Les zones en sommeil mais ayant un potentiel de développement : Le massif du Gothard, les vallées alpines du Tessin et des Grisons ainsi que diverses régions localisées du Valais ou de l'Oberland bernois.

    Population

    Vorlage:Article détaillé Villes principales : Zurich, Genève, Bâle, Lausanne et Berne

    Voir aussi : Villes de Suisse

    Langues

    Vorlage:Article détaillé

    Les différentes langues de la Suisse : allemand, français, italien, romanche.

    Quatre langues nationales se partagent le territoire [25]:

    Les quatre langues nationales
    Allemand Français Italien Romanche


    • Au centre, au nord et à l'est (la Suisse alémanique) : La population germanophone parle généralement l'un des nombreux dialectes suisses allemands ou Schwyzerdütsch. L'allemand est la langue écrite.
    • À l'ouest (la Suisse romande) : Français. Le français de Suisse se différencie peu du français de France.
    • Au sud des Alpes (la Suisse italienne) : L'italien est utilisé dans le canton du Tessin et quelques vallées méridionales des Grisons. L'usage du dialecte tessinois, apparenté aux parlers lombards, y demeure très vivant.
    • Au sud-est : Le romanche est parlé par une petite minorité disséminée dans le canton des Grisons. Les Grisons, pays de hautes montagnes, fief de la culture romanche, est le plus vaste et le moins densément peuplé des cantons suisses.

    La frontière linguistique entre le français et l'allemand part des vallées du Jura au nord-ouest de la Suisse, passe vers les lacs de Neuchâtel et Morat, traverse le plateau suisse en longeant la Sarine puis remonte vers les Alpes fribourgeoises, vaudoises et valaisannes du nord, dont elle longe les crêtes. Ensuite la frontière coupe la vallée du Rhône en Valais et vient toucher enfin l'Italie entre les communes d'Évolène et de Zermatt. On nomme aussi cette frontière linguistique le Röstigraben.

    La frontière entre l'italien et l'allemand suit les sommets du Gothard et correspond aux vallées orientées au sud.

    La frontière linguistique du romanche est mouvante. Ceci est dû à l'histoire plus qu'à la géographie[26].

    Certains cantons ont plusieurs langues officielles :

    • Les cantons de Fribourg, Valais et Berne sont bilingues français-allemand.
    • Le canton des Grisons est trilingue allemand-romanche-italien.

    9 % des résidents parlent une langue non nationale. Répartitions des principales langue non nationales :

    • Anglais : surtout dans les zones urbaines de Zurich, Zoug, Bâle, la région lémanique Genève-Lausanne et dans le Bas-Valais.
    • Espagnol : uniformément répartis.
    • Portugais : fortement représenté dans la région francophone.
    • Serbe et croate, Albanais et Turc : prédominent dans la région germanophone.
    • Serbe et croate : surreprésenté en Suisse italienne.

    Démographie

    La population suisse de 1798 à 1910
    1798 1837 1850 1860 1870 1880 1890 1900 1910
    1664832 2190258 2392740 2510494 2655001 2831787 2917754 3315443 3753293
    La population suisse de 1920 à 2000
    1920 1930 1941 1950 1960 1970 1980 1990 2000
    3880320 4066400 4265703 4714992 5429061 6269783 6365960 6873687 7288010

    Variations démographiques régionales Vorlage:Article détaillé La population de la Suisse évolue différemment selon les régions.[27] De plaine ou de montagne, urbain ou rural, industrialisé ou agricole, attrait touristique ou pas : ces facteurs ont notamment influencés leur démographie.

    Un recensement fédéral est effectué tous les dix ans depuis 1850.

    1. Période de 1850 à 1880
      Ère industrielle et du développement du chemin de fer. La croissance démographique, résultat de flux migratoires importants, est modérée sur l’ensemble de la Suisse.
      L’émigration est présente dans les régions agricoles des cantons de Vaud et de Lucerne, ainsi que du nord du pays. L'importation de céréales est source de concurrence pour l’agriculture du pays.
      Les vallées tessinoises et grisonnes, ont perdu jusqu’à la moitié de leur population du fait de l’émigration vers l’Amérique principalement.
      Les régions du Jura (industrie horlogère) et de la Suisse orientale (industrie textile) voient leur population augmenter avec le développement de leurs activités industrielles.
      Les villes se développent grâce au chemin de fer. D'autres régions croissent au bénéfice d'un solde de natalité positif : le Valais et la Suisse centrale.
    2. Période de 1880 à 1910
      Fort développement, transformation économique et sociale fondamentale.
      L'immigration en provenance des États voisins et un taux de natalité élevé conjugué avec une mortalité en forte régression conduit à une forte augmentation de population.
      les grandes villes doublent de population : Zurich (+ 150%), Lucerne, St-Gall, Lausanne et Bâle (+ 120% ), Berne et Bienne (+ 100%) ainsi que, par exemple, les régions industrielles le long de l’Aar entre Bienne et Aarau.
      Développement de certaines communes touristiques (Montreux, Montana, Zermatt, Interlaken, dans la région des lacs tessinois, en Haute-Engadine, ainsi qu’à Davos et Arosa)
      Comme la période précédente les zones rurales ainsi que les vallées tessinoises et grisonnes continue de perdre leur population. De même que les communes rurales du Jura.
    3. Période de 1910 à 1941
      Période opposée à la précédente : stagnation économique et repli sur les valeurs nationales. La proportion des étrangers passe de 16 à 5%, la natalité chute rapidement et le modèle de la petite famille s’impose et les disparités régionales s’estompent.
      Crise de l’industrie horlogère dans le Jura, Effondrement définitif de la broderie en Suisse orientale et baisse de la demande dans le tourisme. Les vallées du sud des Alpes continuent de se dépeupler ainsi que les zones rurales de Fribourg et Vaud. La population des noyaux urbains stagnent ou régressent
      . À l'inverse, les périphéries des villes croissent (initiation du phénomène d'agglomération). Parmi les régions rurales le Valais et la Suisse centrale se peuplent, de même que les Grisons.
    4. Période de 1941 à 1970
      Forte croissance économique et démographique dans les régions urbaines, suburbaines, industrielles et touristiques. La croissance du plateau suisse est généralisée du Lac de Constance jusqu'à Neuchâtel et Fribourg. Le bassin lémanique et les agglomérations tessinoises sont deux autres pôles dynamiques.
      A l'inverse, toutes les régions montagneuses non touristiques voient leur attrait diminuer, comme les vallées latérales du Valais. Toutes les zones rurales du plateau suisse à l'écart des grands axes de communication perdent leur population au profit des périphéries des grands centres urbains et des villes isolées.
    5. Période de 1970 à 2000
      La phase de haute conjoncture qui existait jusqu'alors cessa brusquement vers 1973/74 et eu pour conséquence une régression démographique durant 3 ans et ce n'est qu'en 1981 que le chiffre de population retrouve le niveau de 1974.
      La natalité est à nouveau plus élevée dès la fin des années 1980 et, grâce à une immigration renforcée; entre 1990 et 1997.
      Tout le plateau suisse est en croissance mais avec des régions rurales isolées qui voient leur population baisser. Genève excepté, les villes-centres voient le nombre des habitants diminuer au profit des localités de périphérie avec les taux de croissance les plus élevés dans les couronnes extérieures des agglomérations. Par exemple : communes des districts de Nyon (agglomération de Genève), Morges, Echallens et Oron (Lausanne), Affoltern, Bremgarten, Dielsdorf et Uster (Zurich).
      La vallée du Rhône en Valais, la Suisse centrale (plus spécialement à Nidwald et dans le district de Sursee), la région de Fribourg et le Tessin voient également leur population augmenter plus fortement que la moyenne.
      Certaines communes situées dans les régions isolées dans l’espace alpin central et oriental, (comme le Gothard, la Vallée de Conches, l’Oberhasli bernois, Uri, la Surselva, le Val Blenio et la Léventine) ont des pertes de population parfois considérables. Par ailleurs, l’Emmental et l’Entlebuch, comme par le passé, voient leur population diminuer ainsi que certaines parties du Jura (vallée de Joux, Ste-Croix, l’arrière-pays neuchâtelois, le Jura bernois, les Franches-Montagnes et l’Ajoie).

    Répartition de la population

    La Suisse est fortement urbanisée avec trois habitants sur quatre qui résident en zones urbaines ou la croissance démographique est actuellement la plus forte (+0,7%) que dans les campagnes (+0,5%).

    Parmi cette population urbaine, la moitié, soit 2 718 000 personnes, habitent dans les agglomérations des cinq plus grandes villes (Zurich, Genève, Bâle, Berne et Lausanne).

    Les principales agglomérations ont des caractéristiques différentes et certaines sont transfrontalières : (pdf) carte}}

    • Zurich est la principale agglomération avec environ 1 100 000 habitants et bénéficie d'un réseau de transport régional efficace desservant Aarau, Zoug, Schaffhouse, Winterthour.
    • Le Bassin franco-valdo-genevois [1] est l'agglomération genevoise comptant une population totale d'environ 800 000 habitants en Suisse et en France. Avec Genève comme centre il s'étend au District de Nyon (Vaud), au Pays de Gex (Ain) et au Genevois haut-savoyard (Haute-Savoie)
    • Berne
    • Lugano et Mendrisio avec Como et Varese en Italie forment un système d’agglomérations multipolaires faisant partie de l'aire urbaine de la métropole milanaise. La Regio Insubrica [3] est une communauté de travail transfrontalière entre le Tessin et les régions italiennes limitrophes.

    Politique des agglomérations

    Depuis 2001 la Confédération Suisse soutient une trentaine de projets parmi les 50 agglomérations du pays. Le constat est le suivant : Les aires urbaines prennent de plus en plus d'importance dans l'économie et dans le réseau des villes. Ce sont les communes centres qui supportent l'essentiel des charges des agglomérations alors que la population préfère habiter dans les communes périphériques pour bénéficier d'un cadre de vie plus agréable.

    Actions de la Confédération :

    • Soutenir des projets innovateurs.
    • lancer la réalisation de projets d'agglomération.
    • Accroître l'engagement financier dans le trafic d'agglomération.

    3 exemples de projets-modèles :

    1. Le Réseau Urbain Neuchâtelois (RUN). 120 000 habitants. Mise en réseau des villes et des communes des deux agglomérations du canton, l'une située au cœur du Jura (La Chaux-de-Fonds - Le Locle), l'autre en plaine au bord du lac (Neuchâtel).
    2. agglomération Vevey-Montreux-Riviera. 10 communes qui comptent 70 000 habitants.
    3. Saint-Moritz : agglomération touristique de Haute-Engadine. 11 communes qui comptent 16 000 habitants au total. Mais environ 80 000 résidents pendant la haute saison touristique.

    Infrastructures de transport

    Datei:St. Gotthard Pass.jpg
    Route et rail dans le massif du Gothard

    Vorlage:... Vorlage:Article détaillé

    Cols et tunnels

    Voir aussi : Liste des cols et tunnels de Suisse

    Ponts

    Réseau de routes

    Voir aussi : Réseau autoroutier de Suisse

    Réseau de chemin de fer

    Vorlage:Article détaillé

    Viaduc de Landwasser

    Les chemins de fer ont façonné la Suisse moderne qui a développé à partir de 1850 un réseau très dense. [28] Lignes internationales, nationales ou régionales avec de nombreuses compagnies ayant développé des réseaux secondaires à voie étroite (par exemple le Glacier Express du Chemin de fer rhétique). Les réseaux d'agglomération se sont développés à partir de 1990 avec le RER à Zurich (S-Bahn) suivi par Berne puis Bâle (le premier RER international, entre Saint-Louis en France et la gare de Bâle-Sankt Johann.)

    La ville de Bâle a la particularité d'avoir 3 gares appartenant chacune aux 3 réseaux nationaux : suisse (gare de Bâle SBB), français (gare de Bâle SNCF) et allemand (Basel Badischer Bahnhof).

    La structure du réseau ferroviaire

    Les principales lignes domestiques, orientées sud-ouest – nord-est, courent le long du plateau suisse

    • Ligne principale : (de France) Genève – Lausanne – Fribourg – Berne – Olten (ancien nœud ferroviaire) – Zurich – Saint-Gall - St. Margrethen (Vers l'Allemagne ou l'Autriche)
    • Ligne du pied du Jura : Genève – Yverdon – Neuchâtel – Bienne - Olten – Delémont – Bâle (vers l'Allemagne et la France) ou : Olten – Zurich – Saint-Gall

    Les principales lignes internationales passent à travers les Alpes suisses et le Jura en rayonnant avec Milan comme point central :

    Les premiers nœuds ferroviaires étaient à Olten et Lausanne [29] situés aux intersections des lignes internationales.

    Actuellement, pour le réseau domestique et avec l'horaire cadencé, les gares principales de Zurich, Lausanne, Berne et Bâle sont les nœuds du réseau.

    Voir aussi : Liste des chemins de fer suisses

    Ports et aéroports

    La Suisse compte six aéroports internationaux:

    L'aéroport de Zurich

    1. Zurich

    L'aéroport de Zurich (ou Zurich-Kloten ou Unique-Airport) est situé à Kloten au nord de la ville.

    • Le plus important aéroport de suisse
    • 19,2 millions de passagers en 2006
    • Liaisons avec les plus grands aéroports du Monde (Hong Kong, Los Angeles, RIo de Janeiro...)

    2. Bâle

    L'aéroport international Basel-Mulhouse-Freiburg (ou EuroAirport) est situé à Saint-Louis en France. Son statut est binational (Suisse/France).

    • 4 millions de passagers en 2006
    • Vols charter

    3. Genève

    L'aéroport international de Genève (ou Genève-Cointrin) est situé à Cointrin à 5 kilomètres du centre-ville. Il possède également un secteur français accessible depuis Ferney-Voltaire.

    • Importante desserte par Easy Jet
    • 9.3 millions de passagers en 2006
    • Liaisons européennes essentiellement

    4. Berne

    L'aéroport international de Bern-Belp est situé à Belp au sud de la ville.

    5. Sion

    6. Lugano-Agno

    L'aéroport international de Lugano (Lugano-Agno) est situé à Agno à l'ouest de la ville.

    Le port fluvial de Bâle

    La suisse compte un seul port marchand à Bâle :

    • Le port fluvial de Bâle est situé sur le Rhin avec 4 sites en amont et en aval de la ville de Bâle. Le Rhin, "eau internationale", permets à la Suisse de disposer de l'accès à la mer.

    Régions économiques

    Vorlage:...

    Quelques chiffres

    • Superficie : 41 290 km² (dont 1 740 km² (4,2%) de lacs et cours d’eau)
    • Distance nord-sud : 220 km
    Lieu situé le plus au nord : Bargen (Schaffhouse) 47°48’ de latitude Nord
    Lieu situé le plus au sud : Pedrinate, commune de Chiasso, (Tessin) 45°49’ de latitude Nord
    • Distance est-ouest : 348 km
    Lieu situé le plus à l'est : Piz Chavalatsch (Grisons) 10°30’ de longitude Est
    Lieu situé le plus à l'ouest : Chancy (Genève) 5°57’ de longitude Est
    1. Italie 734,2 km
    2. France 571,8 km
    3. Allemagne 345,7 km
    4. Autriche 165,1 km
    5. Liechtenstein 41,1 km

    Annexes

    Bibliographie et sources

    • La Suisse sur le CIA World FactBook
    • Oskar Bär, Géographie de la Suisse, Éditions Delta, Vevey, 1976.
    • J.Barbier, J.-L.Piveteau et M.Roten, Géographie de la Suisse, Presses Universitaires de France, Paris, 1973.

    Notes et références

    Vorlage:Références

    Articles connexes

    Liens externes

    Vorlage:CommonsAtlas

    Vorlage:Géographie de l'Europe

    Vorlage:Portail

    * de:Schweiz#Geographie

    1. Définition des zones géographiques d'Europe sur United Nations Statistics Division, un site de l'ONU, consulté le 3 octobre 2008.
    2. Barbier, Géographie de la Suisse, page 27.
    3. Bär, Géographie de la Suisse, page 6.
    4. Bär, Géographie de la Suisse, page 23.
    5. Bär, Géographie de la Suisse, page 23.
    6. Bär, Géographie de la Suisse, page 23.
    7. Bär, Géographie de la Suisse, page 24.
    8. Bär, Géographie de la Suisse, page 24.
    9. Vorlage:DHS
    10. Vorlage:Labhart
    11. Bär, Géographie de la Suisse, page 29.
    12. Vorlage:Labhart
    13. Bär, Géographie de la Suisse, page 10.
    14. Climat et risques naturels - La Suisse en mouvement, Stephan Bader et Pierre Kunz, Georg éditeur, Genève, 1998 Vorlage:ISBN, page 23
    15. Atlas mondial suisse, édition 2002, Conférence suisse des directeurs cantonaux de l'instruction publique (CDIP) ISBN 329200232-x
    16. Source : Météo Suisse
    17. Le réchauffement fait bouger l'Eiger Swissinfo 10.07.2006
    18. Le site officiel de l'Office fédéral de l'environnement
    19. Vorlage:DHS
    20. La liste officielle des communes peut être consultée sur le Vorlage:Lien web
    21. Vorlage:DHS
    22. Communiqué de presse mai 1999 Office fédéral de la statistique
    23. La liste complète est disponible sur Vorlage:Xls Vorlage:Lien web|site=Office fédéral de la statistique|consulté le=25 septembre 2008}}
    24. Tracés, Bulletin technique de la Suisse romande n°01 du 17 janvier 2007, 133Vorlage:E année : « Repenser la Suisse »
    25. Le paysage linguistique en Suisse Recensement fédéral de la population 2000
    26. Vorlage:Fr Droit des langues en Suisse, consulté le 7 mai 2008.
    27. Évolution de la population des communes 1850-2000 Recensement fédéral de la population 2000
    28. Vorlage:DHS
    29. Lausanne important carrefour ferroviaire international