Aller au contenu

Xavier Iacovelli

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Xavier Iacovelli
Illustration.
Xavier Iacovelli en 2017.
Fonctions
Vice-président du Sénat
En fonction depuis le
(7 mois et 21 jours)
Élection
Président Gérard Larcher
Prédécesseur Dominique Théophile
Président de Démocrates et progressistes[1]
En fonction depuis le
(9 mois et 28 jours)
Élection
Prédécesseur Olivier Dussopt
Sénateur français
En fonction depuis le
(8 ans, 1 mois et 21 jours)
Élection 24 septembre 2017
Réélection 24 septembre 2023
Circonscription Hauts-de-Seine
Groupe politique SOC (2017-2019)
LREM/RDPI (depuis 2019)
Conseiller municipal de Suresnes
En fonction depuis le
(17 ans, 8 mois et 13 jours)
Maire Christian Dupuy
Guillaume Boudy
Délégué général de Territoires de progrès

(3 ans, 3 mois et 16 jours)
Élection
Président Olivier Dussopt
Prédécesseur Gilles Savary
Secrétaire général de Territoires de progrès

(1 an, 8 mois et 8 jours)
Président Gilles Savary
Prédécesseur Parti créé
Successeur Félix Meysen
Biographie
Date de naissance (44 ans)
Lieu de naissance Suresnes (France)
Nationalité Français
Parti politique PS (2002-2019)
LREM/RE (depuis 2019)
TdP (depuis 2020)
Diplômé de
Profession Attaché territorial contractuel
Résidence Suresnes

Xavier Iacovelli, né le à Suresnes (Hauts-de-Seine), est un homme politique français.

Membre du Parti socialiste de 2002 à 2019, secrétaire général de la fédération des Hauts-de-Seine en 2015, il est élu sénateur en 2017. En 2019, il quitte le PS et rejoint La République en marche dans le parti Territoires de progrès qui regroupe les anciens du PS. En 2025, le parti est renommé « Démocrates et progressistes » et Xavier Iacovelli en prend la présidence.

il est conseiller municipal de Suresnes depuis 2008, candidat à la mairie en 2008, 2014 et 2020 ; et condamné pour escroquerie en 2014.

Famille et formation

[modifier | modifier le code]

Xavier Ricardo Iacovelli naît le à Suresnes de l'union de Jean-François Iacovelli, consultant en bâtiment, et de Carole Ciron, acheteuse en informatique[2]. Élève au lycée Jean-Drouant à Paris, titulaire du bac technologique en juin 1999, il obtient le BTS hôtellerie-restauration en juin 2001[3]. Il poursuit des études supérieures à l'université Paris-Nanterre où il obtient une licence de management du sport, puis à l'l'université Paris-VIII-Vincennes-Saint-Denis dont il est titulaire d'un diplôme d'études supérieures universitaires (Desu) en droit et gestion des collectivités territoriales[2].

Membre du club d'athlétisme les White Harriers de Suresnes, il est spécialiste du 400 mètres haies et du 400 mètres[4]. Il est classé National 2. Il est sélectionné avec trente sportifs européens de haut niveau pour courir dans une palestre à Olympie, à l’occasion des Jeux olympiques d'été de 2004 à Athènes[a].

Le , il épouse Delphine Goupy, directrice commerciale dans l'événementiel[2],[6]. De cette union, naissent deux enfants[2].

Carrière professionnelle

[modifier | modifier le code]

En octobre 1999, il crée l'association Paris Extras. De 2001 à 2002, il est manager de restaurant au Sofitel New York Hotel[3]. En 2002, il transforme son association en société qui devient « Paris Events » en octobre 2003[3] puis « Tasting Paris Events »[2] qu'il dirige de sa création jusqu'à la liquidation judiciaire, laissant par ailleurs plus de 38 000  de loyers impayés[7].

En 2016, il retrouve un emploi financé par la mairie d'Alfortville, alors dirigée par Luc Carvounas, sénateur PS et maire d'Alfortville[8] mais quitte Alfortville en 2017[2] à la suite de « règlements de comptes à la mairie » où sa condamnation pour escroquerie en 2014 refait surface[8].

Parcours politique

[modifier | modifier le code]

Parti socialiste (2002-2019)

[modifier | modifier le code]

Lors du congrès du Parti socialiste de , il est élu premier secrétaire fédéral des Hauts-de-Seine à 59 %[9].

Lors de la primaire citoyenne de 2017, il ne prend officiellement parti pour aucun candidat, restant sur la simple neutralité des primaires dont il a la charge dans les Hauts-de-Seine[10],[11].

En , alors président de la fédération PS des Hauts-de-Seine, il est interpellé par le Mouvement des jeunes socialistes pour faire stopper les ralliements des personnalités socialistes à Emmanuel Macron. Xavier Iacovelli répond qu'il ne « souhaitait pas une chasse aux sorcières, au même titre que lors de l'épisode des frondeurs contre le gouvernement »[12].

En , il est officiellement investi pour conduire la liste du « rassemblement progressiste » (PS, Écologistes, DVG, Démocrates) à l'occasion des élections sénatoriales de 2017, affirmant : « Nous sommes la force centrale face à la droite du département. Nous avons la base électorale la plus forte »[13]. Le , la liste qu'il mène comptabilise 199 voix des grands électeurs, permettant à celui-ci d’être élu sénateur des Hauts-de-Seine[14].

Lors du congrès de 2018, sa motion arrive en tête (40 %) pour le département, il est réélu à la tête de la fédération PS des Hauts-de-Seine[15].

Fin 2019, Xavier Iacovelli est « épinglé pour avoir fait travailler ses proches », information publiée par le PS qui découvre qu'il a confié à l'entreprise JFI Environnement, dirigée par sa sœur, des travaux de désamiantage dans les locaux acquis en mars 2017 par la fédération départementale qu'il dirigeait. Ce contrat a selon lui été attribué en parfaite légalité et en toute transparence[16].

Départ du PS et rapprochement avec La République en marche (2019)

[modifier | modifier le code]

En , Xavier Iacovelli reproche au premier secrétaire du PS Olivier Faure sa décision de placer l'essayiste Raphaël Glucksmann à la tête de la liste PS pour les élections européennes. Il menace, dans ces conditions, de ne pas voter pour cette liste aux européennes. « Je ne vois pas pourquoi je voterai pour une liste qui ne me convient pas. Je n’exclus pas de voter blanc »[17],[18].

Le , il fait partie des dix sénateurs socialistes qui s'abstiennent sur le discours de politique générale d'Édouard Philippe, contre l'avis du groupe PS[19].

En rupture avec la ligne politique du Parti socialiste, il indique qu'il se sent « libre » depuis sa démission en de la tête de la fédération des Hauts-de-Seine[20].

Le , il quitte le PS et le groupe SOC du Sénat, à la suite de la parution dans le Le Journal du dimanche du « manifeste pour un pôle de gauche dans la majorité » LaREM[21],[22]. Il est aussitôt investi le par LaREM pour les élections municipales de 2020 à Suresnes, ce changement d'étiquette politique ne passe pas chez les Marcheurs[23] et dès le lendemain, il rejoint le groupe sénatorial LaREM[24].

« Territoires de progrès » (renommé « Démocrates et progressistes ») depuis 2020

[modifier | modifier le code]

Il est nommé en 2020 secrétaire général du parti Territoires de progrès[25], parti fondé par d'ex-PS, qui se présente comme « un mouvement social-démocrate et européen »[26]. En 2025, le parti est renommé « Démocrates et progressistes » et Xavier Iacovelli en prend la présidence[27].

Activité sénatoriale

[modifier | modifier le code]

En , Xavier Iacovelli organise un colloque sur « l’origine du commerce parallèle de tabac et les solutions pour y mettre fin », au cours duquel Seita-Imperial Tobacco a « reconnu pour la première fois que l’immense part du commerce parallèle de tabac est composée de leurs cigarettes »[28],[29].

En , il annonce la création d’un groupe de travail informel et transpartisan sur la protection de l’enfance, qui a pour vocation « d’associer des sénatrices et des sénateurs de tous bords politiques »[30]. En 2022, il demande que le Sénat se dote d'une délégation aux droits de l'enfant[31],[32]. En réaction au refus de la présidence du Sénat et de la commission des Affaires sociales, il déclare : « On crée des groupes d’études sur la truffe, mais pas sur la protection de l’enfance ! »[33].

En , la ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion le charge avec deux autres parlementaires d'une mission sur les conditions de développement des diverses formes d'organisation de l'emploi des travailleurs en mission courte. Le rapport est rendu le [34],[35].

En , il propose une recentralisation de l'Aide sociale à l'enfance (ASE) par l'État. Le , dans le cadre d'une mission confiée par le Premier ministre Gabriel Attal, il rend un rapport sur les familles monoparentales. Le rapport propose l'instauration d'une « carte monofamille » dématérialisée[36] ainsi que l'obligation de la garde alternée, sauf dans le cas de comportements violents avérés d'un des deux parents[37]. Concernant les pensions alimentaires, le texte suggère la création d'un barème unique, la contribution à l'éducation et à l'entretien de l'enfant (CEEE), généralisable aux parents modestes ou bénéficiant des minima sociaux[38].

En 2023, Xavier Iacovelli, dénonce « des menaces de plus en plus virulentes »[39] à l'égard des élus favorables à la réforme des retraites.

En , il plaide en faveur de l'autorisation du cumul d'emplois pour les familles d'accueil[40].

Activité à Suresnes

[modifier | modifier le code]

Xavier Iacovelli est suppléant sur la liste PS lors des élections départementales de 2015 dans le le canton de Suresnes-Nanterre. Il est qualifié au second tour mais échoue face au binôme sortant composé de Christian Dupuy et Camille Bedin (40,75 % contre 59,25 %)[41]. Il est, depuis 2016, conseiller de territoire de Paris Ouest la Défense, à la suite de la création de la Métropole du Grand Paris[42].

Candidat malheureux en 2008 et 2014, Xavier Iacovelli vise à nouveau le fauteuil de maire de Suresnes en 2020. Il réclame le soutien officiel de La République En Marche[43], qu'il obtient en . La décision de la commission d'investiture du parti avait jusque là été reportée plusieurs fois, alors que le dauphin du maire sortant Christian Dupuy, Guillaume Boudy, sollicitait lui aussi l'investiture. La députée de Suresnes Isabelle Florennes (MoDem), dont le parti est allié à LaREM au niveau national, juge le choix porté sur Xavier Iacovelli « incompréhensible et regrettable » et ne se sent pas engagée par cette décision en vue du scrutin[44]. Au premier tour, sa liste obtient 26,84 % des voix, se classant en deuxième position derrière Guillaume Boudy (union de la droite, LR), qui obtient 39,07% des voix[45]. Au second tour, sa liste recueille 32,44 % des suffrageset se classe à nouveau derrière celle de Guillaume Boudy. Xavier Iacovelli conserve son siège de conseiller municipal[46].

Lors du mouvement des Gilets jaunes, il invite les Alto-Séquanais à intégrer le conseil sénatorial qu'il a créé lors son élection[47].

Affaires judiciaires

[modifier | modifier le code]

En 2014, Xavier Iacovelli est reconnu coupable d'escroquerie et condamné par le tribunal de Nanterre par un jugement définitif à trois mois de prison avec sursis et à verser 1 500  à la municipalité de Suresnes. Il était accusé d'avoir permis en 2009 à une militante socialiste qui était sur la liste municipale de 2008, mais non élue, de bénéficier indûment d'une formation en communication et prise de parole. Il est également condamné à payer une amende de 3 120  solidairement avec cette dernière. La formation, financée par la ville, était en effet strictement réservée aux élus dans le cadre du droit à la formation des élus. La mairie avait porté plainte en 2010. Lors de la campagne électorale de 2014, la municipalité sortante communique sur le sujet[48].

En 2015, la société Paris Events qu'il gérait depuis sa création, fait l'objet d'une liquidation judiciaire. Cette société louait un local commercial à « Hauts-de-Seine Habitat », qui y perdra 38 000  de loyers impayés.

En 2018, Xavier Iacovelli fait l'objet d'une polémique vis-à-vis de « Hauts-de-Seine Habitat ». Alors qu'il bénéficie d'un logement HLM à Suresnes, il tente de profiter d'un dispositif d'accession à la propriété destiné aux locataires du parc pour acheter, à prix cassé, un pavillon situé dans le quartier de la Cité-jardin. Une demande finalement rejetée par la direction des affaires foncières et immobilières du bailleur Hauts-de-Seine Habitat. « Il fallait oser, grince l'un de ses détracteurs. Ce n'est pas illégal mais pour un parlementaire dont les revenus avoisinent les 5 000  par mois, c'est contestable d'un point de vue moral… »[7].

En 2023, il annonce porter plainte à la suite de la dégradation de sa permanence parlementaire[49].

Résultats électoraux

[modifier | modifier le code]

Élections sénatoriales

[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Parti Département Voix % Rang Sièges obtenus
2017[50] PS Hauts-de-Seine 199 8,75 7e
1  /  7
2023[51] RE 418 17,97 4e
1  /  7

Élections municipales

[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Parti Commune 1er tour 2d tour Sièges (CM)
Voix % Rang Voix % Rang
2008[52] PS Suresnes 4 287 33,44 2e
6  /  39
2014[53] 4 463 29,79 2e
6  /  43
2020[54] LREM 3 334 26,84 2e 3 492 32,44 2e
7  /  45

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Le documentaire-réalité Les Champions d’Olympie, produit par Arte, a ressuscité la compétition telle qu’elle se déroulait dans la Grèce antique[5].

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Anciennement Territoires de progrès jusqu'au .
  2. a b c d e et f Who's Who in France, édition 2020, p. 1100.
  3. a b et c T. Beausseron, « APRÈS UN BTS À L'ÉCOLE HÔTELIÈRE DE PARIS XAVIER IACOVELLI, 23 ANS, DIRIGE LA SOCIÉTÉ PARIS EVENTS », sur le site de la SAS L'Hôtellerie-Restauration, (consulté le ).
  4. « les Bilans », sur le site de la Fédération française d'athlétisme (consulté le ).
  5. « Sur Arte, des Jeux antiques pas en toc », sur le site du quotidien 20 Minutes, (consulté le ).
  6. Site de la SAS Républik à Suresnes.
  7. a et b David Livois, « Le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine a tenté d’acheter un logement social », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  8. a et b Agnès Vives, « Le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine a tenté d’acheter un logement social », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  9. « Xavier Iacovelli, nouveau patron du parti socialiste des Hauts-de-Seine », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  10. Anne-Sophie Damecour, « Primaire de la gauche : 140 bureaux de vote ouverts dans Hauts-de-Seine », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  11. Anne-Sophie Damecour, « Primaire de la gauche : les socialistes veulent autant de votants qu'en 2011 », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  12. Victor Tassel, « Le MJS 92 réclame des sanctions contre les socialistes qui rallient Macron », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  13. Anthony Lieures, « Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  14. « Résultats des élections sénatoriales 2017 », interieur.gouv.fr, consulté le 9 novembre 2019.
  15. Anne-Sophie Damecour, « Xavier Iacovelli reconduit à la tête de la fédération PS des Hauts-de-Seine », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  16. David Livois, « Suresnes : le sénateur épinglé pour avoir fait travailler ses proches », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  17. « Européennes : à peine dévoilée, l’opposition raille la liste LREM », sur le site de la chaîne Public Sénat, (consulté le ).
  18. « Le sénateur PS Xavier Iacovelli « n’exclut pas de voter blanc » aux européennes » [vidéo] (consulté le ).
  19. « Règlements de comptes chez les sénateurs socialistes », sur le site du quotidien L'Opinion, (consulté le ).
  20. David Livois, « Municipales à Suresnes : en rupture avec le PS, Iacovelli « se sent libre » au centre », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  21. « 75 soutiens de Macron appellent à la création d'un pôle de gauche dans la majorité », sur le site de l'hebdomadaire Le Journal du dimanche (consulté le ).
  22. « Le sénateur Xavier Iacovelli quitte le PS », sur le site du magazine Le Point, (consulté le ).
  23. Maxine Gil, « Municipales 2020. Le sénateur Xavier Iacovelli se lance à Suresnes, soutenu par LaREM », sur la plateforme d'information Actu.fr du groupe Ouest-France, (consulté le ).
  24. « 7 novembre 2019 : M. Xavier IACOVELLI devient membre du La République En Marche », sur le site du Sénat (consulté le ).
  25. BFMTV, « Covid-19 en Normandie : alerte au virus à Val d'Oise ? - 20/06 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  26. « Territoires de progrès, nouveau parti fondé par d'ex-PS », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
  27. Pascal Larcher, « Le premier local du parti Territoires de progrès dans l'Allier inauguré à Moulins » Accès payant, sur le site du quotidien La Montagne, (consulté le )
  28. « Tabac : un sénateur s'attaque au marché parallèle de cigarettes », sur Public Senat, (consulté le ).
  29. Par Marc LomazziLe 26 décembre 2018 à 17h54, « Cigarettes de contrebande : un sénateur en guerre contre le lobby du tabac », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  30. « Enfants placés : un sénateur va créer un groupe de travail sur la protection de l’enfance », francetvinfo.fr, 17 janvier 2019.
  31. Public Sénat, « La création d’une délégation des droits de l’enfant divise au Sénat », sur Public Sénat, (consulté le )
  32. « Le sénateur Xavier Iacovelli : « Le Sénat doit se doter d'une délégation aux droits de l'enfant » », sur lejdd.fr, (consulté le )
  33. « Xavier Iacovelli : « La protection de l’enfance est une priorité » », sur Public Senat, (consulté le ).
  34. https://www.vie-publique.fr/rapport/280615-regulation-des-contrats-duree-determinee-d-usage-cddu
  35. Damien Dole, « Emploi précaire : un rapport parlementaire pointe les limites des CDD d’usage », Libération,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  36. Par Le Parisien avec AFP Le 30 septembre 2024 à 18h10, « Famille monoparentale : un rapport sénatorial relance la piste d’une carte pour les parents « solos » », sur leparisien.fr, (consulté le )
  37. « Familles monoparentales : la garde alternée pourrait devenir obligatoire », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  38. « Garde alternée, carte monofamille, pensions alimentaires... Ce qu'il faut retenir du rapport parlementaire sur les familles monoparentales », sur Franceinfo, (consulté le )
  39. https://www.bfmtv.com/politique/reforme-des-retraites-le-senateur-renaissance-xavier-iacovelli-denonce-des-menaces-de-plus-en-plus-virulentes-a-l-egard-des-elus-favorables-au-texte_VN-202303190270.html
  40. Julia Mokdad, « Familles d’accueil : le cumul d’emplois peut-il stopper l’hémorragie ? », sur Challenges, (consulté le )
  41. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2015 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  42. « POLD », sur parisouestladefense.fr (consulté le ).
  43. David Livois, « Municipales à Suresnes : en rupture avec le PS, Iacovelli « se sent libre » au centre », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
  44. Florence Hubin, « Municipales à Suresnes : le sénateur Iacovelli, ex-PS, obtient le soutien de LREM », leparisien.fr, 7 novembre 2019.
  45. « Résultats municipales 2020 à Suresnes », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  46. « Résultats Municipales 2020 à Suresnes », sur lemonde.fr (consulté le ).
  47. Par A.-S. D. Le 14 janvier 2019 à 17h02, « Hauts-de-Seine : Xavier Iacovelli ouvre son conseil sénatorial à tous les habitants », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  48. « Suresnes : Xavier Iacovelli (PS) condamné pour escroquerie », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le )
  49. Emilie Roussey, « La permanence d'un sénateur Renaissance taguée avec une croix gammée », sur le site de la chaîne BFM TV, (consulté le ).
  50. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections sénatoriales 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  51. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections sénatoriales 2023 » (consulté le ).
  52. Ministère de l'Intérieur, « Élections municipales et communautaires 2008 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  53. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  54. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).