Heil dir im Siegerkranz, Herrscher des Vaterlands! Heil, Kaiser, Dir! Fühl in des Thrones Glanz die hohe Wonne ganz, Liebling des Volks zu sein! Heil Kaiser, Dir!
Nicht Ross, nicht Reisige sichern die steile Höh, wo Fürsten stehn. Liebe des Vaterlands, Liebe des freien Manns gründen den Herrscherthron wie Fels im Meer.
Heilige Flamme, glüh, glüh und erlösche nie fürs Vaterland! Wir alle stehen dann mutig für einen Mann, kämpfen und bluten gern für Thron und Reich!
Handel und Wissenschaft heben mit Mut und Kraft ihr Haupt empor. Krieger- und Heldentat finden ihr Lorbeerblatt treu aufgehoben dort, an deinem Thron.
Dauernder stets zu blühn, weh unsre Flagge kühn auf hoher See, wie auch so stolz und hehr wirft über Land und Meer weithin der deutsche Aar flammenden Blick!
Sei, Kaiser Wilhelm, hier lang deines Volkes Zier, der Menschheit Stolz! Fühl in des Thrones Glanz die hohe Wonne ganz, Liebling des Volkes zu sein! Heil, Kaiser, dir!
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Salut à toi dans la couronne de victoire, ô souverain de la patrie ! Salut à toi, ô Empereur ! Eprouve dans la brillance du trône le haut délice en totalité d’être le favori du peuple ! Salut à toi, ô Empereur !
Ni chevaux, ni brindilles ne sauvergardent la raide hauteur où les monarques sont situés. L’amour de la patrie, l’amour de l’homme libre fondent le trône du souverain comme un roc dans la mer.
Flamme sacrée, brasille, brasille et n’éteind jamais pour la patrie ! Nous nous mettrons donc tous debout courageux, pour un seul homme, lutterons et saignerons volontiers pour le trône et l’empire !
Le commerce et les sciences avec courage et force se lèvent en haut. Les actes des guerriers et des héros y trouvent leurs lauriers fidèlement conservés, à ton trône.
Qu’au nom d’une fleuraison durante, notre pavillon flotte hardiment en haute mer, autant que fière et sublimement au-dessus des pays et des mers l’aigle allemand jette au loin son regard enflammé !
Sois ici, ô Empereur Guillaume, très longtemps la parure de ton people, la fierté de l’humanité ! Eprouve dans la brillance du trône le haut délice en totalité d’être le favori du peuple ! Salut à toi, ô Empereur !
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