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Benutzer:Steinbeisser/Lager

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Général Charles Eblé


| grade                     = Général de division
| arme                      = Artillerie
| début de carrière         = 1818
| fin de carrière           = 1864
| conflit                   = Première Campagne d'Algérie
| commandement              = École polytechnique
Inspecteur général de l'artillerie | distinctions = Grand officier de la Légion d'honneur | famille = Neveu du Général J.-B. Eblé
Grand-père de Maurice Eblé

Charles Eblé, * 8. Dezember 1799 in Paris , † 20. Dezember 1870 ebenda, war ein französischer General des Second Empire.

Leben

Am „17 frimaire an 8“[1] in Paris geboren, war Charles Eblé der Sohn von Marie-Laurence Eblé und Neffe von Géneral Jean-Baptiste Eblé, dem Helden von der Beresina,

Im Jahre 1818 trat er in die École polytechnique ein,[2], die er 1820 erfolgreich wieder verließ. Als Waffengattung wählte er die Artillerie, um daraufhin an die Artillerie- und Pionierschule nach Metz versetzt zu werden.[3].

Sous-lieutenant d'artillerie le 19 février 1823, il sert au [[4e régiment d'artillerie (France)|Vorlage:4e régiment d'artillerie]]. Il est choisi par le général Digeon en 1824 comme aide de camp, et devient lieutenant en 1825[4].

Charles Eblé participe à la première campagne d'Algérie et y gagne la promotion au grade de capitaine en 1830[5]. Il est ensuite de nouveau aide de camp du général Digeon en 1831[4].

Peu après, il est choisi, sur ses connaissances, pour être le précepteur militaire du jeune duc de Montpensier, dont son père le roi Louis-Philippe veut faire un artilleur[3]Vorlage:,[5].

Ensuite membre de la commission d’épreuves des bouches à feu en fonte de fer en 1836[2], Charles Eblé est capitaine en premier en 1837. Chef d'escadron en avril 1843, il devient en 1848 lieutenant-colonel, chef de la section du personnel au Ministère de la guerre[4]Vorlage:,[2].

Colonel en septembre 1850, il est nommé directeur de l'artillerie à Metz en septembre 1851[4]Vorlage:,[2].

Général

[[Fichier:Fronton Polytechnique.jpg|thumb|Fronton des bâtiments historiques de l'École polytechnique]] Charles Eblé est nommé général de brigade en octobre 1854, et commandant de l'École polytechnique de 1854 à 1860[3]Vorlage:,[5].

Il doit gérer l'indiscipline politique des élèves. Le 27 décembre 1855, le général Eblé défile le premier de l'armée française, en tête de son école ; passant devant Napoléon III, il crie le rituel « Vive l'Empereur ! », mais seul son adjoint crie aussi. Les quatre bataillons de l'École polytechnique défilent « dans un silence glacial » rompu seulement par l'adjudant qui ferme la marche. L'École semble alors menacée de fermeture ; elle n'est pas supprimée mais elle ne participe plus aux revues[6]Vorlage:,[7]. Face à l'indiscipline délibérée des élèves, le général les menace de renvoi par tirage au sort, et leur accorde dix minutes de réflexion. Les élèves votent alors la soumission[6].

Nommé en 1859 inspecteur du Prytanée militaire, général de division en 1860, Eblé est membre du comité d'artillerie, et inspecteur général de l'artillerie de 1862 à 1864[4]Vorlage:,[2].

Polytechnicien devenu général d'artillerie, il commande pendant six ans l'École polytechnique, puis est inspecteur général de l'artillerie.

Il est promu grand officier de la Légion d'honneur le 22 novembre 1864, et passe au cadre de réserve le 9 décembre 1864[4]Vorlage:,[3].

dont il hérite du titre de comte par décret impérial en 1867[4]Vorlage:,[8].

Il meurt en 1870. Il est inhumé dans la 26Vorlage:E division du cimetière du Père-Lachaise[9].

Distinctions

Vie familiale

Charles Eblé épouse en décembre 1847 Louise Anne Agnès Pâris, petite-fille du maire de Nantes Claude-Sylvain Pâris.
Ils ont quatre enfants[8] :

  1. Jean Baptiste Marie Charles Eblé (né en 1848), comte Eblé, percepteur des finances, qui épouse en 1879 Marie Louise Boussard d'Hauteroche ; ils ont quatre enfants, dont Maurice Eblé (1880-1942), avocat engagé dans le catholicisme social.
  2. Étienne Marie Eblé (1852-1900), chef d'escadrons de cavalerie.
  3. Marie Eblé, qui épouse Charles Longueville, officier.
  4. Geneviève Eblé, religieuse.

Titre et armes

  • Neveu du général Eblé, Charles Eblé hérite de son titre de comte, confirmé par décret du 17 avril 1867 et par lettres patentes du 8 mai 1867[8].
  • Ses armes portent : « Ecartelé : d'azur et de gueules, à la croix d'or, brochant et cantonné au Vorlage:1er, des comtes militaires à l'épée haute en pal d'argent, montée d'or ; au Vorlage:2e, de deux épées d'argent, prontées d'or, et posées en sautoir ; au Vorlage:3e, d'un lion rampant d'or ; au Vorlage:4e, de trois épis de blé noués d'or »[8].

Sources

Notes et références

Vorlage:Références

Voir aussi

Articles connexes


Vorlage:Portail



Catégorie:Élève de l'École polytechnique (France) Catégorie:Général français du Second Empire Catégorie:Directeur général de l’École polytechnique (France) Catégorie:Grand officier de la Légion d'honneur Catégorie:Naissance en 1799 Catégorie:Naissance à Paris Catégorie:Décès en 1870 Catégorie:Personnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 26)


Literatur

  • « Michel Ordener », in Charles Mullié, „Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850“, 1852
  • « Michel Ordener » , in Robert et Cougny, „Dictionnaire des parlementaires français“, 1889
  • Service Historique de l’Armée de Terre – Fort de Vincennes – Dossier S.H.A.T. Côte : 7 Yd 431.

Fußnoten

  1. Nach dem Revolutionskalender
  2. a b c d e Bibliothèque de l'École polytechnique, « famille polytechnicienne ».
  3. a b c d e Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains, 1870, p.618 Vorlage:Lire en ligne.
  4. a b c d e f g Vorlage:Biographie-Française.
  5. a b c « Éblé (Jean-Baptiste, comte) – Son neveu, Charles Eblé », dans La grande encyclopédie..., Paris, H. Lamirault, 1885-1902, tome 15, Vorlage:P.232.
  6. a b Vorlage:Ouvrage
  7. Georges Pinet, Histoire de l'École polytechnique, Baudry, Paris, 1887, Vorlage:P.272 Vorlage:Lire en ligne.
  8. a b c d Révérend, Titres et confirmations de titres... 1830-1908, Paris, 1909, Vorlage:Pp.306-307.
  9. Site des amis et passionnés du Père-Lachaise, « Eblé Charles comte d’, général d’artillerie (1798-1870) ».

Vorlage:Sortierung:Ordener, Michel


[[Kategorie:Militärperson (Frankreich)]

[[Kategorie:Mitglied der Ehrenlegion] [[Kategorie:Franzose] [[Kategorie:Geboren 1755] [[Kategorie:Gestorben 1811] [[Kategorie:Mann]

Le chemin de fer militaire stratégique

Locomotive système Péchot, comparable à celles ayant circulées sur le Chemin de fer stratégique
Locomotive système Péchot, comparable à celles ayant circulées sur le Chemin de fer stratégique

Vorlage:Article détaillé La Place fortifiée de Belfort est défendue depuis 1877 par une ceinture de forts occupés en temps de paix. Pour desservir ces ouvrages l'autorité militaire décida la construction d'un chemin de fer stratégique à voie étroite (0,60 m) (système Péchot) dont une partie était permanente et une autre provisoire, les voies Decauville se démontant facilement. La construction dura de 1889 à 1893. Les wagons transportaient le matériel, le ravitaillement, les munitions et les hommes entre les différents dépôts et les ouvrages. Une locomotive à vapeur Péchot-Bourdon entraînait les quelques wagons[1].

Les principaux forts reliés au réseau étaient les ouvrages de Roppe, Bessoncourt, Vézelois, Meroux, le Bois d'Oye, le Salbert, le fort Hatry, le fort des Hautes Perches, le fort des Basses Perches ainsi que le fort du Mont-Vaudois. Vorlage:Clr


]]. Vorlage:Ébauche Vorlage:Infobox fortification Séré de Rivières Le fort du Saint-Eynard est situé au sommet du Mont Saint-Eynard, dans le Massif de la Chartreuse. Il domine Grenoble à plus de Vorlage:Unité d'altitude.

Il est accessible à pied et en voiture (route fermée en hiver), et abrite aujourd'hui un restaurant et un musée, ouverts l'été.

Histoire

Ce fort a été construit entre le Vorlage:Date et octobre 1879. Il est le dernier des six forts construits pour la ceinture fortifiée de Grenoble. Il reprend d'ailleurs comme le Fort du Mûrier les spécifications du système de fortification du général Séré de Rivières. Le fort s'étend sur plus de Vorlage:Unité et sa construction a coûté Vorlage:Unité de l'époque[2].

Le fort a été mis en place pour pouvoir protéger le Massif de la Chartreuse, les villages de Sarcenas, Quaix-en-Chartreuse et Saint-Égrève. Il devait également protéger le ravin de La Vence et permettait de contrecarrer une possible invasion du Fort du Bourcet. Effectivement, ce dernier se situe en contrebas du fort du Saint-Eynard.

Ce fort abritait à l'époque plus de 477 hommes et 25 pièces de canon. Il était protégé d'un côté par la falaise et de l'autre par un fossé creusé à même la montagne. Imprenable, ce fort est à peine visible depuis le Col de Porte. Toutefois, il n'a jamais servi. En effet durant la Première Guerre mondiale, il ne couvrait pas les zones où se déroulaient les batailles. Et durant la Seconde Guerre mondiale, il a été rendu obsolète du fait de l'utilisation des avions. Il fut donc déclassé par l'armée le Vorlage:Date, puis racheté par les communes du Sappey-en-Chartreuse et Corenc[3].

Actuellement, le fort est maintenu par la Fondation du Fort Saint-Eynard. Jadis restauré par une entreprise privée, le fort est maintenant viable. Un restaurant et un musée accueillent d'ailleurs chaque année de nombreux visiteurs.

Galerie photo

Vorlage:Message galerie

Notes et références

Vorlage:Références

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Le fort du Saint Eynard sur www.fortiffsere.fr http://fortiffsere.fr/grenoble/index_fichiers/Page5391.htm


Vorlage:Portail Catégorie:Corenc Catégorie:Le Sappey-en-Chartreuse Catégorie:Monument de l'Isère Saint-Eynard Saint-Eynard

  1. Referenzfehler: Ungültiges <ref>-Tag; kein Text angegeben für Einzelnachweis mit dem Namen Mayet.
  2. Les plan du fort sur le site www.fortsteynard.com
  3. L'histoire du fort sur www.fortsteynard.com