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Die historischen Quellen dieser Forschung gehen spätestens auf Heron zurück. Sie bezieht auch archeologische Funde, z.B. graduierte Maßstäbe, Gebädegrundrisse etc. mit ein.
Seit Ende des 19. Jahrhunderts gibt es zahlreiche – teilweise auch als eher pseudo-wissenschaftlich zu bezeichnenden – Veröffentlichungen zu eben diesem Forschungszweig.
Einer der herausragendsten, aber dennoch kritikwürdiger Vertreter des 20. Jahrhunderts der historischen Metrologie ist der deutsche Wissenschaftler Rolf C. A. Rottländer[1]. Nennenswerte Beiträge leisteten hier auch Dieter Lelgemann[2], sowie auch Eberhard Knobloch[3].
Entre le pied – toujours divisé en seize doigts dans l'Antiquite – et son double le « nibou », il y avait huit autres unités potentielles, dont la coudée dite naturelle, soit de 24 doigts fut la plus importante. Les Sumériens avait une préférence pour la division par trente, cf. système sexagésimal. Les Égyptiens parcontre, divisèrent leurs coudées par vingt-huit.
Le mètre – par hasard – est proche de la « verge de Charlemagne » car 3 x 333,396 = 1000,188 mm.
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Aujourd'hui les métrologues se référent soit à une coudée de Nippour dite « brute » de 720 x 720 = 518 400 µm, soit à une coudé de Nippour dite « idéaliste » qui aurait mesuré son 2401 / 2400, égale 518 616 µm exactement. La dernière définition donne des valeurs simples à toutes les unités déduites par une ou plusieurs divisions par 7.
Une coudée de Nippour conventionnelle de 518,4 mm donnerait un pied romain théorique de 296.228 571 428 mm. La définition de la « coudée de Nippour idéaliste » donne un pied romain conventionnel de 25 x 33 x 73 = 296 352 µm.