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Pierre Lellouche

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Vorlage:Voir homonymie Vorlage:Infobox parlementaire français Pierre Lellouche[1], né le Vorlage:Date à Tunis, est un avocat et un homme politique français. Il est membre de l'UMP et député de la quatrième circonscription de Paris depuis 1997. Le 23 juin 2009, il est nommé secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes.

État civil et études

Fils d'un artisan tunisien de confession juive, Pierre Lellouche quitte la Tunisie à l'âge de 5 ans. Il a étudié au lycée Condorcet à Paris. Il est diplômé d’études supérieures de la Faculté de Droit de Paris X-Nanterre (1972) et de l’Institut d'études politiques de Paris (1973), Master of Laws (LLM) et docteur en droit de la Faculté de Droit de Harvard.

Il est divorcé et père de 3 enfants.

Carrière professionnelle

Avocat d'affaires, c'est au lendemain de son service militaire qu'il rejoint en 1974 le Groupe d’études et de recherches sur les problèmes internationaux, dirigé par Raymond Aron à la Maison des Sciences de l’Homme. Il milite alors en faveur du développement d’Israël et effectue divers stages en kibboutz.

En 1979, il participe à la fondation de l' Institut français des relations internationales (IFRI) où pendant une dizaine d'années, il est responsable de l’ensemble du secteur politico-stratégique et rédacteur en chef adjoint de la revue Politique étrangère.

Il enseigne parallèlement à l’ÉNA, à l’INSEAD et à l'Université Galatasaray.

Il est également à l'époque éditorialiste pour plusieurs hebdomadaires français ou étrangers comme Le Point, Newsweek, l’International Herald Tribune, Le Figaro et Sekai Nippo (Japon).

Carrière politique

En janvier 1989, il devient le conseiller diplomatique de Jacques Chirac, alors maire de Paris et président du RPR, tout en continuant ses activités d'éditorialistes et de consultant international.

Député RPR de la huitième circonscription du Val-d'Oise (Garges-lès-Gonesse, Sarcelles, Villiers-le-Bel) de 1993 à 1997 (après avoir battu Dominique Strauss-Kahn), il est élu député de la 4Vorlage:E circonscription de Paris (VIIIVorlage:E et IXVorlage:E arrondissements) en 1997.

Dans un contexte de division de la droite à Paris, il échoue à prendre la mairie du 9e arrondissement de Paris en mars 2001, remportée par le socialiste Jacques Bravo, mais il est élu conseiller de Paris et d'arrondissement.

Pierre Lellouche est réélu dès le premier tour député le 16 juin 2002, pour un 3Vorlage:E mandat, pour la Vorlage:RomainVorlage:E législature (2002-2007), dans la 4Vorlage:E circonscription de Paris.

Membre de la commission des Affaires étrangères et de la Délégation pour l'Union européenne de l'Assemblée nationale, Pierre Lellouche préside le Groupe d’Etudes sur l’Industrie d’armement ainsi que la Délégation française à l’Assemblée parlementaire de l’OTAN. En novembre 2004, il est élu président de l’Assemblée parlementaire de l'OTAN.

Il est également le président du Groupe d’amitié parlementaire France-Inde.

Pierre Lellouche a été le négociateur du gouvernement français pour l'implantation du réacteur nucléaire ITER à Cadarache (Bouches-du-Rhône) en 2005.

Au sein de l'UMP dont il est membre du bureau politique depuis sa fondation en 2002, il devient en avril 2004 le secrétaire général adjoint, chargé des Etudes puis en janvier 2005, le délégué général à la défense, auprès de Nicolas Sarkozy.

Il a été candidat à l'investiture UMP pour la campagne de 2008 pour la mairie de Paris, mais à l'issue de ces primaires il arrive en quatrième et dernière position après Françoise de Panafieu, Claude Goasguen, et Jean Tiberi. Il se rallie à la candidature de Françoise de Panafieu pour le second tour.

Lors des élections législatives des 10 et 17 juin 2007, il est élu dès le premier tour avec 54 % des voix dans la 4Vorlage:E circonscription de Paris (8Vorlage:E et 9Vorlage:E arrondissements).

Lors des élections municipales de mars 2008, Pierre Lellouche abandonne son fief traditionnel qu'est le IXe arrondissement de Paris, laissant ce dernier à Delphine Bürkli, son attachée parlementaire, pour se présenter dans le VIIIe arrondissement, où il obtient l'investiture de son parti.

Lors du premier tour de ces élections municipales, le 9 mars 2008, il est devancé par le maire sortant François Lebel (apparenté UMP) de 257 voix. Maintenant sa liste, il perd finalement au second tour avec 31,82% des voix (3 903 voix) contre 48,55% (5956 voix) des voix pour François Lebel qui est réélu maire du 8Vorlage:E arrondissement de Paris.

Convictions politiques

Pierre Lellouche est membre de plusieurs groupes d'études internationaux visant au renforcement du lien transatlantique et à éclairer les grands mouvements qui animent les relations internationales. Il est notamment membre du comité de direction de Nuclear Threat Initiative, vice-président (France) de l'Atlantic Partnership, membre de la commission Trilatérale et de l'International Institute for Strategic Studies.

Expert en relations internationales, partisan du libéralisme économique, il est membre du courant libéral de l'UMP «Les Réformateurs».

Sujets de société

En 1993, jeune député, il paraphe la proposition de loi tendant à créer un salaire parental.

En 1998, lors de la proposition de loi sur le PACS, il défend des convictions fondées sur la famille traditionnelle estimant « qu'un enfant a besoin des deux piliers structurants que sont un père et une mère » et s'oppose à tout contrat civil dont pourraient bénéficier les personnes homosexuelles, qu'il regarde comme le prélude au mariage et à l'adoption par des homosexuel(le)s.

Lors du débat parlementaire, quand le rapporteur du projet de PACS, Jean-Pierre Michel, conteste que ce dernier soit « un sous-mariage ou un mariage bis » comme le prétendent les députés de l'opposition et qu'il n'y a pas lieu « de prévoir une présomption de paternité », Pierre Lellouche s'exclame alors « il n'y a qu'à les stériliser ! » (à propos des homosexuels) selon le compte rendu officiel du débat parlementaire du 8 novembre 1998 [2]. Il affirmera plus tard avoir été « victime d'une mauvaise transcription de [ses] propos » [3], auprès de Stéphane Dassé, président de GayLib (une association homosexuelle liée au parti politique de l'UMP).

En 2007, au côté de Roselyne Bachelot, il est partisan du contrat d'union civile sur l'égalité des droits pour les personnes homosexuelles proposé par Nicolas Sarkozy, candidat à la présidence de la république. C'est à cette occasion que Pierre Lellouche rend hommage à l'association GayLib à qui il déclare devoir « une vraie maturation personnelle » ayant été "sur ces sujets à l'âge de la préhistoire avec des réactions basiques pas dignes" [4].

Pierre Lellouche est l'auteur de la loi, votée à l'unanimité par le Parlement français le 16 décembre 2002, visant à aggraver les peines en cas de violence à caractère raciste ou antisémite. Ce dispositif légal a également servi de modèle pour la rédaction permettant de sanctionner plus lourdement les violences à caractère homophobe.

Il est également l'auteur ou le co-auteur de divers rapports parlementaires consacrés à la fiscalité du marché de l’art (1999 et 2003), à la sécurité alimentaire (1999), à la prolifération nucléaire (2000), aux questions de défense et de désarmement (2003), ainsi qu'au statut et à la protection des journalistes en temps de guerre (2006).

Politique Internationale

Un atlantisme revendiqué

Atlantiste et pro-américain, très marqué par les attentats du 11 septembre 2001, Pierre Lellouche apporte son soutien en 2003 à la politique de guerre préventive en Irak menée par le gouvernement des États-Unis d'Amérique du président George W Bush bien qu'il ait préféré que Vorlage:Citation [5]. Ce faisant, il conteste alors la position, qu'il juge anti-américaine, du président de la république française Jacques Chirac et de son ministre des affaires étrangères Dominique de Villepin qui s'opposent à toute action militaire en Irak avant que les inspections onusiennes aient démontré la persistance de l'existence d'armes de destruction massives dans ce pays. Si Jacques Chirac est soutenu par la majorité de la classe politique et de l'opinion publique française, plusieurs personnalités françaises partagent le point de vue de Pierre Lellouche, notamment les hommes politiques Alain Madelin et Bernard Kouchner, les intellectuels André Glucksmann, Alexandre Adler ou Pascal Bruckner, les professeurs d'universités Yves Roucaute [6], Guy Millière ou Jean-Claude Casanova, le chercheur Dominique Moïsi [7], des écrivains comme Romain Goupil tandis que d'autres personnalités comme Nicole Bacharan [8] ou André Kaspi [9] universitaires spécialistes des États-Unis dénoncent, de leur point de vue, l'anti-américanisme de principe ou l'absence de contre-propositions.

Co-auteur en 2000 d'un rapport d'informations sur la prolifération des armes de destruction massive dans lequel il rappelait le massacre des Kurdes à Halabja en 1988 à l'aides d'armes de destruction massive par les troupes de Saddam Hussein [10]Vorlage:,[11], Pierre Lellouche justifie son approbation d'une intervention militaire préventive et concertée entre les États-Unis et ses alliés européens dans un éditorial co-écrit avec Doug Berreter publié sur le site internet de l'OTAN [12], le 21 février 2003. Reconnaissant que Vorlage:Citation, il en appelle à une initiative franco-américaine sur l'Irak, regrettant également que Vorlage:Citation. Il précise Vorlage:Citation.

Si Pierre Lellouche regrette que la question des droits de l'homme en Irak ait été négligé au profit de son désarmement [13], son approbation d'une intervention in fine pour renverser le dictateur irakien,dans l'espoir que l’Irak soit un levier de démocratie pour l’ensemble du Proche et du Moyen-Orient [14] brave une opinion publique française et européenne dont l'opposition à la guerre était animée d'un certain pacifisme mais aussi souvent attisée par un anti-américanisme sans précédent [15]. Elle vaudra à Pierre Lellouche d'être vouées aux gémonies, particulièrement par une extrême-gauche classiquement anti-américaine et par une extrême droite antisémite [16] ou souverainiste le traitant tout à la fois de néo-conservateur, de « vassal de l’empire malfaisant » ou de « Bushiste » (dans le sens péjoratif).

A la suite de la chute de Saddam Hussein en avril 2003, les investigations menées par les troupes américaines ne confirment pas les renseignements recueillis avant la guerre sur la relance du programme d'armement nucléaire et sur la possession d'armes de destruction massives bactériologiques ou chimiques [17]Vorlage:,[18]Vorlage:,[17]Vorlage:,[18]Vorlage:,[19]. S'il est confirmé que nulle preuve n'existe d'un lien entre l'ancien dictateur et les terroristes d'Al Qaeda, le financement qu'il avait octroyé aux familles des kamikazes palestiniens prend fin [20].

Regrettant l’attitude de la France qui n’a pas empêché la guerre mais contribué à Vorlage:Citation [5], il est aussi très critique de la gestion de l'après-guerre mené par le gouvernement américain, notamment pour son incapacité à assurer la sécurité des irakiens, tout en se félicitant de la mise en place d'un parlement et d'un gouvernement élu pour la première fois au suffrage universel.

Lors des élections présidentielles américaines de novembre 2004, Pierre Lellouche prend position en faveur de John Kerry, candidat démocrate à la présidence contre George W. Bush [21], convaincu que cela améliorerait les relations franco-américaines dans la présentation, dans le style, tout en doutant d'un revirement de la doctrine américaine ou la fin de sa défiance envers les organisations internationales.

En septembre 2006, il assistait au rendez-vous à la Maison-Blanche entre le président de l'UMP et ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy et le président américain George W. Bush.

En Avril 2009, lors d'un débat télévisé au sujet de la réintégration de la France dans le commandement de l'OTAN l'opposant à Jean-Luc Mélenchon qui l'accusait d'être un "agent" de la CIA, emporté par ses convictions atlantistes, il regretta de « ne pouvoir, comme au XIXème siècle, provoquer son adversaire en duel et le flinguer »[22]. Il rajoute a cela "Et ce serait mérité!"

Président de l'Assemblée parlementaire de L'OTAN

De novembre 2004 à novembre 2006, Pierre Lellouche exerce la présidence de l'assemblée parlementaire de l'OTAN.

A la tête de cette organisation, il contribue au processus de stabilisation et d’assistance à l’Ukraine du président Viktor Iouchtchenko et à la Géorgie, préconisant également un soutien à l’opposition démocratique en Biélorussie [23]. C'est dans cette fonction qu'il intervient auprès de la Turquie à qui il demande de reconnaitre le génocide arménien [24] demandant en même temps à cette dernière de "résoudre ses problèmes de droits de l’homme et de régler la question de Chypre" [25].

C'est à cette fonction qu'il condamne enfin les propos antisémites tenus par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad qui mettaient en doute l'ampleur de l'Holocauste [26].

Lors de son derniers discours comme président de l'Assemblée le 15 novembre 2006, il se déclare Vorlage:Citation qu'elle soit politique ou militaire, regrettant le court-circuitage unilatéral de celle-ci par les États-Unis dans sa riposte aux attentats du 11 septembre 2001 et du Vorlage:Citation, doutant de la pérennité du pilier européen de l'Alliance [27].

Activités dans le cadre de la lutte contre la prolifération nucléaire

En 2000, il est l'auteur d'un rapport sur la prolifération des armes de destruction massive [28] .
En 2006, il se rend au Kazakhstan pour superviser l'appauvrissement d'un stock d'uranium enrichi, en compagnie de Ted Turner, le propriétaire de CNN et président d'une ONG spécialisée dans la lutte contre le terrorisme nucléaire.

Un partisan de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne

Pierre Lellouche est favorable à l'entrée de la Turquie en Europe Vorlage:Référence nécessaire

Un avocat de l'État d'Israël

Pierre Lellouche est connu pour ses positions favorables à Israël Vorlage:Référence nécessaire.

Fiscalité

Pierre Lellouche est un partisan de l'abolition de l'ISF, qu'il considère comme un impôt injuste basé sur le seul patrimoine et non les revenus (qui conduit ainsi certains habitants de l'Ile de Ré, victimes de l'envolée des prix du foncier, à être redevable de cet impôt alors que les réelles plus grosses fortunes avaient, elles, les moyens de s'expatrier en Belgique ou en Suisse [1]). En septembre et octobre 2005, il tente sans succès de faire réformer l'ISF [2] et lance une pétition pour exonérer l'habitation principale de l'ISF [3] dont les principaux bénéficiaires auraient pu notamment être une centaine de milliers de propriétaires parisiens et les paysans de l'île de Ré (ledit "syndrome de l'île de Ré" qualifie cette situation).

Mandats

  • 02/04/1993 - 21/04/1997 : député de la 3ème circonscription du Val d'Oise
  • 18/06/1995 - 18/03/2001 : conseiller municipal de Cannes (Alpes-Maritimes)
  • 01/06/1997 - 18/06/2002 : député de la 4e circonscription de Paris
  • 2004-2006 : Président de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN.
  • depuis le 01/07/2002 : député du la 4e circonscription de Paris
  • depuis mars 2001 : Conseiller de Paris (ville et département)
  • mars 2009-juin 2009 : représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan
  • 23/06/2009 : secrétaire d'État aux Affaires européennes.

Publications

  • L'allié indocile : La France et l'OTAN, de la Guerre froide à l'Afghanistan, Éditions du Moment, 2009
  • Illusions Gauloises, Grasset, 2006
  • La République Immobile, Grasset, 1998.
  • Le Nouveau Monde, de l’ordre de Yalta au désordre des nations, Grasset, 1992. Prix aujourd’hui, Hachette Pluriel, 1993
  • Le Millénaire de l’Apocalypse, roman, avec Florence Trystam, Flammarion, 1980.
  • Le Couple franco-allemand et la Défense de l’Europe, avec Karl Kaiser, IFRI-Economica, 1986.
  • L’avenir de la Guerre, essai, Mazarine, 1985
  • Pacifisme et Dissuasion, IFRI-Economica, 1983.

Notes et références

  1. "De l'arabe allûsh, subst., « agneau ». Précédé de l'article, a donné al-allûsh et par contraction lellûsh, d'où les transcriptions Lellouch et Lellouche.", Paul Sebag, Les noms des Juifs de Tunisie, L'Harmattan, 2002, p.96
  2. Débat sur le Pacs, 8 novembre 1998, 3Vorlage:E séance à l’Assemblée nationale
  3. Vorlage:Pdf Revue de presse par GayLib, page 41: Le Figaro Magazine du 10 décembre 2005
  4. GayLib, la défense d'un bilan et celle du projet d'Union civile
  5. a b « Trois questions à Pierre Lellouche », Le Monde, 16 octobre 2004
  6. auteur de la puissance de la liberté
  7. Le directeur-adjoint de l'IFRI déclare dans un article des échos daté du 11 février 2003 que "pour diverses raisons éthiques et réalistes, nous sommes parvenus après de longues réflexions à la conclusion qu’une abstention, sans parler d’un veto, suicidaire à la fois pour l’ONU et pour l’influence de la France dans le monde, aurait des répercussions plus graves qu’une participation au conflit, même mineure et acceptée sans conviction"
  8. Sur l'anti-américanisme ambiant, voir Nicole Bacharan, "Pourquoi nous avons besoin des Américains" (Broché) et le débat L'Amérique est-elle une puissance impériale ?
  9. Les Etats-Unis estiment qu’au Moyen-Orient un danger d’introduire des armements massifs existe réellement. L’Irak représente un certain danger. Une guerre préventive peut-être nécessaire. Hitler avait attaqué les Sudètes et les pays européens n’avaient pas réagi efficacement se contentant de vagues protestations et L'antiaméricanisme a pris une ampleur formidable depuis que George W. Bush exerce la présidence
  10. Quand « notre » ami Saddam gazait ses Kurdes
  11. Plus de 3000 villages furent rasés, 182 000 Kurdes massacrés au cours des années 80 par les troupes irakiennes et en 1991, 130 000 chiites sont tuées
  12. Editorial de Pierre Lellouche et Doug Bereuter
  13. Le vrai sujet, c'est que Saddam Hussein est une horreur
  14. Position également exprimée par l'historien Alain-Gérard Slama
  15. Serge July dénonce cet anti-américanisme dans un article intitulé "Le Chagrin" paru dans le quotidien Libération du 26 mars 2003 où il redoute "l’hystérie anti-américaine" qui met sur le même plan Saddam Hussein et George W. Bush alors que selon un sondage paru dans le quotidien Le Monde, 30% des personnes sondées souhaitaient une victoire irakienne
  16. dont une partie de l'argumentaire consiste à constater que les néo-conservateurs américains et ceux qui leur sont proches en France sont majoritairement juifs ou de fervents soutiens d'Israel, voir ainsi Sionismophilie et excès de zèle, Why Won't Anyone Say They Are Jewish ?
  17. a b Quand Bush voulait envahir l’Irak coûte que coûte, Le Figaro, 27-04-2006
  18. a b Irak et Al-Qaïda : Bush avait menti, Le Nouvel Obs, 09-09-2006
  19. Les justifications de la guerre en Irak battues en brèche par le Sénat américain, Le Monde, 09-09-2006
  20. Saddam Hussein octroyait 25 000 $ aux familles des auteurs d’attentats-suicides en Israë
  21. "Pierre Lellouche ne cachait pas qu’il était en faveur de John Kerry"
  22. http://www.lexpress.fr/actualite/politique/quand-lellouche-menace-melenchon-de-le-flinguer-en-duel_751951.html http://leweb2zero.tv/video/alfred_0649d933d5e4940 leweb2zero.tv
  23. http://www.nato-pa.int/Docdownload.asp?ID=0BBEB06E6600000072&bcsi_scan_C9A5957D136929BF=j0JqUlyO5BwrEIR/VFbwCQEAAADz5poA:1
  24. Pierre Lellouche, président de l’assemblée parlementaire de l’OTAN, demande la reconnaissance du génocide arménien à la Turquie
  25. Il prolongea son action en faveur des arméniens dans ses fonctions de conseiller municipal de Paris où il proposa que le "square Montholon" soit rebaptisé "square d’Arménie" pour rendre hommage à la Communauté arménienne de France
  26. Condamnation des propos du président iranien
  27. Le président sortant de l'AP OTAN se dit inquiet pour l'avenir de l'OTAN
  28. Rapport d'information de la commission de la défense nationale et des forces armées sur la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs

Liens externes

Commons: Pierre Lellouche – Album mit Bildern, Videos und Audiodateien

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