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6e régiment de dragons

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Vorlage:Ébauche Vorlage:Titre Vorlage:Infobox Unité militaire

Le 6Vorlage:E régiment de dragons est un régiment français de cavalerie constitué sous l'Ancien Régime, et dissous en 1992.

Création et différentes dénominations

  • Vorlage:Date : levée du Régiment d'Hocquincourt
  • 1675 : prend le nom de dragons de la Reine
  • 1791 : devient le 6Vorlage:E Régiment de Dragons
  • 1814 : renommé Dragons de Monsieur
  • 1815 : 6Vorlage:E Régiment de Dragons, dissolution après les Cent Jours
  • 1816 : recréation sous le nom de dragons de la Loire'
  • 1825 : renommé 6Vorlage:E Régiment de Dragons
  • 1940 : dissous
  • 1951 : recréé sous le nom de 6Vorlage:E Régiment de Dragons
  • 1963 : dissous
  • 1964 : recréation du 6Vorlage:E Régiment de Dragons à partir du [[3e régiment de spahis algériens| 3Vorlage:E Régiment de Spahis Algériens]]
  • 1992 : dissolution

Chefs de corps

Ancien Régime

  • 1673 : le chevalier d'Hocquincourt

colonels tués et blessés alors qu'il commandaient le 6Vorlage:E dragons pendant cette période :

  • 26 avril 1794 : Chef de brigade Vincent : tué
  • 6 février 1807 : colonel Lebaron : tué
  • 22 juillet 1812 : colonel Picquet : blessé

Officers tués et blessés pendant qu'ils servaient dans le 6Vorlage:E régiment de dragons (entre 1805-1815):

  • Officiers tués : 8
  • Officiers morts des suite de leur blessures : 5
  • Officiers blessés : 82

(*) Officiers devenu par la suite généraux de brigades, (**) Officiers devenu par la suite généraux de division)

1815 - 1848

IIVorlage:E République et Second Empire

1870 - 1914

Première Guerre mondiale

Entre deux guerre

Seconde Guerre mondiale

1945 à nos jours

  • 1963-64 : lieutenent-colonel Jeannerod
  • 1965 : lieutenant colonel Lediberder
  • 1967 : colonel Fournier
  • 1969 : lieutenant colonet O'Delant
  • 1971 : colonel Maillard
  • 1972 : lieutenant colonel Carabin
  • 1974 : colonel Delcourt
  • 1976 : lieutenant colonel de Cotton

Personnages célébres y ayant servi

Historique des garnisons, combats et batailles du 6Vorlage:E Dragons

Ancien régime

Le 14 septembre 1673, un édit royal crée le service spécial de la reine Marie-Thérèse : un régiment de dragons qui, en raison de son affectation particulière prend le nom de « Dragons de la Reine ». Le chevalier d'Hocquincourt, son premier maître de camp, reçoit l'ordre du roi [[Louis XIV de France|Louis Vorlage:XIV]] de lever ce régiment à Philippsburg, sur les bords du Rhin près de Spire (Speyer), alors place française.

Ce régiment est constitué de quatre escadrons à deux compagnies. Chaque compagnie compte un capitaine, deux lieutenants et cinquante à soixante dragons. L'effectif subit de fréquents changements suivant l'état de paix ou de guerre et voit la composition des unités modifiée par les différentes ordonnances royales.

Révolution et Empire

Lors des escarmouches précédant la bataille d’Austerlitz, 50 dragons du 6Vorlage:E RD, se trouvant à pied, sont encerclés à Wischau et forcés de se rendre à un parti de cosaques[1]

1815 - 1848

IIe république et Second Empire

1870 - 1914

Un historique de la Guerre de 1914/1918 est téléchargeable à cette adresse :
http://www.lareinedragons.org/telechargement/historique_1418.pdf (lien mort)

Entre-deux-guerre

1945 à nos jours

  • Le 6Vorlage:E régiment de dragons est reformé en 1951 à Besançon(route de Dôle) et devient un centre d'instruction sur AMX-13 en 1960. Il redevient une unité de combat en 1964.
  • En Allemagne de 1964 à 1978 à Lachen-Speyerdorf, un quartier de Neustadt an der Weinstraße. Équipé d'AMX-13, il passe sur char AMX-30 en 1972.
  • En Allemagne à Saarburg près de Trèves à partir de 1978 (?) jusqu'à juillet 1992. Le 6Vorlage:E régiment de dragons faisait partie de la [[1re division blindée (France)|1Vorlage:E division blindée]] et stationnait dans le même quartier que le [[16e groupement de chasseurs|16Vorlage:E groupement de chasseurs]] à Saarburg. Il est dissous dans la réforme des armées à l'été 1992.

De 1960 à la réforme des armées, il est un centre d'instruction.

Faits d'armes inscrits sur l'étendard

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes [2]:

Décorations

Voir aussi

Liens externes

Sources

Notes

  1. Michel Roucaud, « Le récit méconnu de la bataille d’Austerlitz par le maréchal Alexandre Berthier : avortée une relation officielle », paru dans la Revue historique des armées no 238, 2005, disponible en ligne SHA, consulté le 13 janvier 2007
  2. Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007

Vorlage:Portail

DRAG, 06