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Régiment de la Reine-Mère
Régiment d'Artois
Régiment de La Couronne
45e régiment d’infanterie


Internes Verbandsabzeichen
Aktiv 1643 bis 1998
Staat Frankreich
Streitkräfte Französische Streitkräfte
Teilstreitkraft Armée française de terre
Truppengattung Infanterie
Typ Mechanisisertes Infanterieregiment
Standort Laon
Schutzpatron Saint-Maurice d’Agaune
Motto « Tête haute, en avant »
Führung
Kommandeur Letzter:

Das Régiment de La Couronne (zuletzt: 45e régiment d’infanterie - 45e RI)[1] war ein Verband der französischen Infanterie. Das Regiment nahm seit seiner Aufstellung in allen Kriegen mit französischer Beteiligung bis zum Zweiten Weltkrieg teil. Es existiert heute nicht mehr.

Aufstellung und signifikante Änderungen

Bei der Aufstellung war es als eines Regimenter bestimmt, die als Marineinfanterie und in den Kolonien zum Einsatz kommen sollten.

Es war das erste Regiment, das unter König Ludwig XIV. zur Aufstellung kam. Am 25. Juni 1643 erteilte die Königinmutter Anna von Österreich als Regentin Frankreichs dem Maréchal Nicolas de L’Hospital ein Patent zur Aufstellung eines Regiments Infanterie. Bis zu ihrem Tod 1666 sollte es dann den Namen Régiment de La Reine-Mère tragen

Le célèbre Louis de PONTIS qui, lui aussi, avait été maltraité par RICHELIEU, nous apprend dans ses mémoires que le maréchal de VITRY fit choix de lui pour servir de guide à son neveu, encore jeune, et que ce fut lui, PONTIS, qui eut à s’occuper de tous les détails de l’organisation du régiment. L’assemblée se fit à Troyes, et non sans peine.


  • 1643 : Aufstellung als Régiment de La Reine-Mère[2]
  • 1666 : Umbenennung in Régiment de Genlis
  • 1666 : renommé Régiment d’Artois
  • 1673 : renommé Régiment de La Couronne
  • 1. Januar 1791 : Umbenennung in 45e régiment d’infanterie de ligne
  • 1793: Im Zuge der Premier amalgame wurde der Regimentsverband aufgelöst. Das 1. Bataillon wurde zur Bildung der 89e demi-brigade de bataille und das 2. Bataillon zur Bildung der 90e demi-brigade de bataille verwendet.

  • 1803 : Wiederaufstellung des 45e régiment d’infanterie de ligne aus der 45e demi-brigade d'infanterie [3]
  • während der ersten Restauration Umbenennung in 42e régiment d’infanterie de ligne
  • während der Herrschaft der Hundert Tage Umbenennung in 45e régiment d’infanterie de ligne

Regimentskommandeure

  • 25. Juni 1643 : Colonel François Marie de l'Hôpital duc de Vitry et de Châteauvillain
  • 7. Juni 1667 : Colonel Bruslart, Marquis de Genlis
  • Juni 1673 : Colonel Bruslart, marquis de Genlis de Bethencourt
  • September 1675 : Colonel Bruslart, marquis de Genlis de Proyard
  • 12. März 1677 : Colonel Hardoin Bruslart, chevalier, dann marquis de Genlis
  • 30. März 1693 : Colonel Nicolas de Prunier, marquis de Saint-André-Beauchêne
  • 26. Juli 1698 : Colonel Louis marquis de Polastron
  • 11. Mai 1707 : Colonel René François de Froulay, chevalier de Tessé
  • 27. Februar 1712 : Colonel Jean-Baptiste comte de Polastron
  • 10. März 1734 : Colonel Armand Louis de Béthune, marquis de Charrost
  • 11. November 1735 : Louis Ferdinand Joseph de Croy, prince & duc d'Havré
  • 26. Mai 1745 : Colonel Jean-François Gabriel, marquis de Polastron
  • 17. März 1758 : Colonel Alexandre Eléonor de Saint-Mauris, comte et prince de Montbarrey
  • 30. November 1761 : Colonel Pierre-Constantin Le Vicomte, comte de Blangy
  • 22. Juni 1767 : Colonel Claude Antoine de Bésiade d'Avaray, marquis d'Avaray
  • 11. November 1782 : Colonel Marie-Gabriel-Florent-Auguste, comte de Choiseul-Gouffier
  • 1. Januar 1784 :  : Colonel Augustin-Louis-Charles, marquis de Lameth
  • März 1788 : Colonel Jean Baron de Spens d'Estignols
  • September 1788 : Colonel marquis de Lameth
  • 21. Oktober 1791 : Joseph-Marie-Anne de Moyria
  • 29. Juni 1792 : Colonel Charles Étienne Guillaume Blandin de Chalain
  • 8. März 1793 : Colonel François Goulu

  • 1875-1883 : Colonel Anatole Chevallier
  • 1889 : Colonel Pierre Gustave Abadie

  • 1901 : Colonel Rambaud
  • 1918 : Colonel Clément

  • 1939 - 1940 : Lieutenant-colonel Henri-Paul Desroche.

Uniformen und Fahnen während des Ancien Régime

Wegen seiner Verdienste bei der Belagerung von Maastricht 1673, wurde das Regiment auf Befehl des Königs in „Régiment de la Couronne“ (Regiment von der Krone) umbenannt. Es erhielt auch eine neue Fahne mit einer Krone im Zentrum der Kreuzbalken und mit der Inschrift Dedit hanc Mastrika coronam (Maastricht brachte ihm die Krone)

Gefechtskalender

Kriege an denen das Regiment teilgenommen hat

Französisch-Spanischer Krieg
Devolutionskrieg
Holländischer Krieg
Reunionskrieg
Pfälzischer Erbfolgekrieg
Spanischer Erbfolgekrieg
Polnischer Thronfolgekrieg
Österreichischer Erbfolgekrieg
Siebenjähriger Krieg
Koalitionskriege
Deutsch-Französischer Krieg
Erster Weltkrieg
Zweiter Weltkrieg


Französisch-Spanischer Krieg - 1635 bis 1659

Le corps, à peine formé, se rendit à Bar, et de là à Thionville, où il assista aux dernières opérations du siège, qui se termina le 10 août. Il franchit ensuite le Rhin vis-à-vis d’Offenbourg et prit part au siège de Rothweil. Conduit ensuite à Meringen, près des sources du Danube, le petit corps dont le régiment faisait partie fut attaqué par les forces combinées de l’Empereur, de l’Electeur de Bavière et du duc de Lorraine. Après une belle défense, La Reine-mère dut subir une capitulation, qui fut indignement violée par les Allemands. Il fut conduit à Augsbourg et Ratisbonne, d’où la plupart des officiers et des soldats, exaspérés par la brutalité allemande, parvinrent à s’échapper. Remis sur un bon pied pendant l’hiver, le régiment fit la campagne de 1644 en Flandre, et se distingua au siège de Gravelines. Le capitaine de PRÉMONT, qui le commandait en l’absence du marquis de VITRY, y fut grièvement blessé. Après avoir passé l’hiver dans le Boulonnais, La Reine-mère arriva devant Mardyck. Le 6 juillet, il relève Piémont dans les tranchées et marche à l’attaque du fort Rantzaw. Le marquis de VITRY, le major du LIÈGE et tous les officiers se jettent à l’eau les premiers, l’épée à la main, et se précipitent sur les retranchements avec tant de vivacité que l’ennemi s’empresse d’abandonner le fort, ne prenant que le temps d’y mettre le feu. Le même jour, le fort de bois construit sur le bord de la mer éprouve un sort pareil. Lencke, Bourbourg, où le major du LIÈGE a la lèvre coupée par une balle, Menin et Cassel sont pris en courant. VITRY a le bras fracassé par une mousquetade au passage de la Lys. Lillers est attaqué le 30 août ; le brave du LIÈGE, vétéran du siège de La Rochelle, est mortellement frappé dès le commencement de l’assaut : le régiment, outré de cette perte, force la contrescarpe, emporte l’ouvrage à cornes, la demi-lune, se mêle avec l’ennemi jusqu’aux barrières du corps de place, et n’obéit qu’à regret à l’ordre de s’arrêter. La garnison, intimidée, capitule le lendemain. La prise de Lillers avait coûté la vie au major du LIÈGE et au capitaine d’ARNAUD. Le régiment fait encore cette année les sièges de Béthune et de Saint-Venant. En 1646, il commence par celui de Courtrai. Le 24 juin, quelques compagnies repoussent une escarmouche de cavalerie ; le capitaine SAINT-JULLIEN-ALLAND est tué ; le major de BOURGOGNE et 3 autres officiers sont blessés ; le régiment achève la campagne par les sièges de Mardyck, Berghes et Dunkerque. Il sert en 1647 à la prise de La Knoque et aux sièges de Dixmude et de Lens. Il débute en 1648 devant Ypres, et il combat à Lens, où il était à la 2e

ligne, qui devint la 1ère, et supporta le principal effort ; le marquis de VITRY s’y

distingua et reçut plusieurs blessures. A la fin de cette année, le jeune chef devint frondeur : le régiment lui fut ôté le 18 janvier 1649, et son commandement fut remis provisoirement au lieutenant-colonel HARGONNE des BERGÈRES, qui le conduisit au blocus de Paris. M. de VITRY fut rétabli à la tête du corps le 29 avril suivant, et reçut l’ordre de se rendre en Flandre avec son régiment. Celui-ci prit part aux sièges de Cambrai et de Condé ; il passa le reste de l’année à Guise, et en 1650 il fut envoyé en Guyenne au duc d’ÉPERNON, qui le plaça à Nérac pour surveiller les mouvements des mécontents. Il sortit de cette ville pour contribuer à la levée du siège de Cognac, et il se rendit ensuite à l’armée du maréchal du PLESSIS-PRASLIN, en Champagne ; il se trouva ainsi au siège et à la bataille de Rethel. 3 Pendant la campagne de 1651, il suivit la Cour, errante dans les provinces, et en 1652 il contribua, sous TURENNE, aux victoires de Bléneau, d’Etampes et du faubourg SaintAntoine, qui ramenèrent le roi à Paris. Après la défaite de la Fronde, le régiment fut envoyé à Collioure au commencement de 1653. Il passa en juillet dans la Catalogne, pour faire le siège de Girone. Il fut écrasé, 22 septembre, au combat de Bordilly, dont la malheureuse issue fit lever le siège de Girone ; on l’envoya à Foix pour se rétablir pendant l’hiver. En juillet 1654, il rejoignait, avec le régiment de cavalerie d’Harcourt, l’armée du prince de CONTI, lorsqu’au passage des montagnes, marchant sans précautions, il fut attaqué par la garnison de Puycerda et mis en déroute. Il prit sa revanche en contribuant à la levée du siège de Roses et à la prise de Puycerda. Il était en 1655 à la réduction du Cap de Creus. Il servit encore l’année suivante en Catalogne et, en 1657, il fut appelé en Flandre et coopéré à la prise de La Mothe-aux-Bois. Il servit en 1658 au siège de Dunkerque et de quelques petites places voisines, et, au mois de novembre, il fit partie du corps réuni autour d’Audenarde. Il demeura dans cette position jusqu’en février 1660, époque à laquelle la ville d’Audenarde fut remise aux Espagnols. Il comptait alors 20 compagnies et fut réduit à 10.

Devolutionskrieg - 1667 bis 1668

Holländischer Krieg - 1667 bis 1714

Reunionskrieg - 1683 bis 1684

Pfälzischer Erbfolgekrieg 1688 bis 1697

Spanischer Erbfolgekrieg - 1701 bis 1714

Polnischer Thronfolgekrieg - 1733 bis 1738

Friedenszeit

Siebenjähriger Krieg - 1756 bis 1763

Friedenszeit

Kriege der Revolution und des Ersten Kaiserreichs - 1791 bis 1815

 
Richard Ansdell (1815–1885), In der Schlacht bei Waterloo sichert der Sergeant Charles Ewart der Royal North British Dragoons die erbeutete Fahne des 45e RI gegen die Rückeroberung durch einen französischen Lancier.

1815 bis 1852

Im Jahre 1830 wurden Teile des Regiments nach Martinique verlegt. Die Soldaten verließen am 10. Oktober ihre Kaserne und wurden am 30. Oktober in Brest nach Fort Royal eingeschifft, wo sie am 18. März 1831 ankamen. Zurück ging es am 6. Mai 1832 an Bord der Korvette „La Loire“, mit Ankunft am 2. Juli in Brest.[4].

Zweites Kaiserreich

Deutsch-Französischer Krieg

Erster Weltkrieg

  • 1914 :

Bei der Mobilmachung stellte es sein Reserveregiment, das „245e régiment d'infanterie“ auf.

1915:


1916:


1917:


1918:

Zwischenkriegszeit

Zweiter Weltkrieg

Nachkrigszeit

Einige Regimentsfahnen seit Napoleonischer Zeit

Die aktuelle Fahne trägt seit napoleonischer Zeit auf der Rückseite in goldenen Lettern den Namen der Schlachten, an denen das Regiment ehrenvoll teilgenommen hat. [5][6].

Ehrungen

Das Fahnenband ist mit dem Croix de guerre 1914-1918 mit zwei Palmenzweigen für zweimalige lobende Erwähnung im Armeebefehl dekoriert.

Die Angehörigen des Regiments haben das Recht, seit dem 23. Mai 1919 die Fourragère in den Farben des Croix de guerre zu tragen.

.

Literatur

  • Le Royal des vaisseaux dans la tempête" du colonel Verrier du Mureau - 1954.
  • 43e, tes insignes t'en souviens-tu ?, plaquette présentant l'ensemble des insignes du 43e régiment d'infanterie réalisée en 2002. Étude du capitaine Levesque.
  • Le 43e R.I. le régiment de Lille, historique complet du régiment sous la direction du lieutenant-Colonel Denis Chevignard. Édition La Voix du Nord 2003.
  • La chapelle de la Citadelle de Lille, plaquette présentant l'architecture et le contexte historique de ce bâtiment. Le 43e régiment d'infanterie y est cité. réalisée en 2005. Étude de l'adjudant-chef Blanchard.
  • J. Dumaine HISTOIRE DE L’INFANTERIE FRANÇAISE Librairie militaire – Paris 1876 Kapitel 4 S. 49-67
Commons: Fahnen des 44° régiment d'infanterie – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

Fußnoten

  1. dt.: 45.  Infanterieregiment
  2. Regimentsinhaber war die Mutter des Königs, Anna von Österreich (1601–1666)
  3. die mit dem vormaligen 45e RI nichts zu tun hatte
  4. source Archives Nationales fichier Leonore
  5. Bestimmung n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT vom 14. September 2007 über das Aussehen der Inschriften auf den Fahnen und Standarten der Truppenkörper des Heeres, des Sanitätsdienstes und der Treibstoffversorgungsbranche. Veröffentlicht mit dem offiziellen Armeebulletin Nr. 27 vom 9. November 2007
  6. Auftrag AFN 1952–1962 über die Zuweisung der Inschriften auf den Fahnen und Standarten der Formationen der Armee und der Dienste vom 19. November 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie