Benutzer:Skipper69/Baustelle2

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Maison du parc im Schloss von Théméricourt

Diese Seite wird von --Skipper69 zur Vorbereitung neuer Artikel verwendet. Bitte keine Änderungen vornehmen! Der Regionale Naturpark Vexin français (frz. Parc naturel régional du Vexin français) liegt in den französischen Départements Val-d’Oise und Yvelines in der Region Île-de-France. Das Kerngebiet dieses Naturparks umfasst eine Kalk-Hochebene in der Landschaft Vexin, die von den Flüssen Seine, Oise und Epte begrenzt wird.

Parkverwaltung

Die Gründung des Naturparks erfolgte am 9. Mai 1995 und umfasst heute eine Fläche von rund 71.000 Hektar. Die Parkverwaltung hat ihren Sitz in Théméricourt (49° 5′ 11″ N, 1° 53′ 47″ OKoordinaten: 49° 5′ 11″ N, 1° 53′ 47″ O), wo sich das „Maison du Parc“ befindet. 99 Gemeinden mit einem Einzugsgebiet von etwa 98.000 Bewohnern bilden den Park. Weitere Gebietskörperschaften liegen zwar außerhalb des Naturparks, sind jedoch als Zugangsorte mit ihm assoziiert: Gemeindeverbund Mantes-en-Yvelines, Limay, Issou, Meulan-en-Yvelines , Gemeindeverbund Cergy-Pontoise.

Größere Orte im Park

Landschaft

Das Gebiet des Vexin français bietet vielfältige Landschaftsformen, wie Kalkklippen, Feuchtgebiete und Wälder. Dieses weitläufige Kalkplateau mit einer dominierenden Höhenlage von rund 100 bis 150 Metern wird im Süden von der Seine begrenzt, im Osten von der Oise, im Westen von der Epte und im Norden von Troësne und Esches. Das Plateau wird noch zusätzlich von Tälern strukturiert, wie die der Viosne und der Sausseron, die zur Oise entwässern oder das der Aubette, die zur Seine verläuft. Markant ist der Alluvialboden der Aubette bei Magny-en-Vexin. An einigen Stellen wird die Ebene von bewaldeten Hügeln überragt, die ein eigenes Biotop bilden. Die Landschaft wird agrarisch stark genutzt, wobei überwiegend Weizen, Gerste und Raps in großen Kulturen angebaut werden. Die Zielsetzung des Naturparks liegt in der Erhaltung der Vielfalt der natürlichen Lebensformen und geschützten Pflanzenarten, die hier gegeben sind und soferne möglich, die Schaffung von Lebensräumen zu deren Ausbreitung und Wiederherstellung.

Feuchtgebiete

Am Grund der Täler erstrecken sich Feuchtwiesen, alkalische Sümpfe und Schilfzonen. Sie dienen als Wasserspeicher und Reinigungsfilter dieser zerbrechlichen Biodiversität und spielen eine Hauptrolle in der Regelung der unter- und oberirdischen Wasserversorgung.

Faune et flore des zones humides De nombreux oiseaux, insectes et batraciens y trouvent refuge. Les espèces nicheuses remarquables observées sont la Bergeronnette des ruisseaux, le Phragmite des joncs et la Rousserolle verderole. Les flancs des buttes présentent des landes humides et tourbeuses où se développe une flore spécifique : Molinie, Carex, Sphaignes et Osmonde royale. Menacés par le drainage ou la fermeture en boisement naturel, ces précieux espaces ont beaucoup régressé depuis les années 1950 mais font aujourd’hui l’objet de programmes d’actions prioritaires pour le Parc naturel régional.

Quelques sites remarquables : - le marais du Rabuais - le marais de Frocourt - le marais de Boissy-Montgeroult - le Bois du Moulin de Noisement à Chars - l’étang de Vallière à Santeuil

Les buttes boisées

Dressées sur le plateau

Les buttes d’Arthies Les bois et forêts couvrent 15% de la superficie du territoire, soit plus de 10 000 hectares. Les plus vastes étendues boisées sont situées sur les buttes d’Arthies, de Rosne et de Marines. Des bois de superficie importante recouvrent également les versants du plateau vexinois : le bois de la Tour du Lay et le bois de La Roche. Des formations boisées de surface plus restreintes sont présentes dans les fonds de vallées et les dépressions. La chênaie est l’élément fondamental de la végétation forestière. Outre le chêne, les essences les plus fréquentes sont le frêne, le châtaignier, le charme, mais on observe aussi l’érable, le merisier, le hêtre et quelques résineux. Les principales essences de bois ont été exploitées jusqu’au XIXe siècle, notamment le châtaignier (fabrication de cerceaux) et le frêne (chaises).

Quelques sites remarquables : - la butte de Marines - les buttes de Rosne - la Forêt départementale de la Tour du Lay - la Butte de Hutrel

Les coteaux calcaires

A fleur de pente

Falaise de Haute-Isle Les pelouses calcaires occupent les versants des vallées qui entaillent le plateau du Vexin français. Ces milieux comprennent des pelouses rases dites pelouses calcicoles, des prairies au couvert végétal plus haut et plus dense et des friches qui résultent de l’abandon des pratiques agro-pastorales. Jusqu’au début du siècle, les cultures dominaient, en particulier les vignes et les vergers, tout en laissant place au développement d’espèces sauvages. Certains versants façonnés en terrasses témoignent encore de ces usages. Cette occupation du sol a permis de maintenir les espaces ouverts. L’abandon de ces pratiques au cours du XXe siècle a entraîné l’implantation d’un boisement spontané et par conséquent, la fermeture du milieu et une diminution de la diversité animale et végétale.

Voir la page sur la réserve naturelle nationale des Coteaux de la Seine Cliquez ici.

Les terrasses alluviales

Héritage de la Seine

La Seine, vue depuis Gommecourt En même temps qu’elle creusait son lit dans la craie tendre des versants, la Seine y a déposé des alluvions charriées depuis l’amont, formant les basses et hautes terrasses alluviales des boucles de Guernes et de Moisson. Sur les basses terrasses, au niveau du fleuve, s’étendent des boisements, des milieux steppiques ou des étangs. Sur les hauteurs dominant les boucles entre Saint-Martin-la-Garenne et Vétheuil, le bois du Chesnay est l’ultime relique d’une très ancienne terrasse alluviale, milieu exceptionnel dominé par une chênaie clairsemée où se mêlent des végétations calcicoles et acidophiles. Ces deux boucles de la Seine revêtent une importance primordiale en Ile-de-France pour les oiseaux nicheurs et de passage. C’est notamment le domaine de prédilection de l’Œdicnème criard, espèce rare dans nos régions, ou encore de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs comme le Busard Saint-Martin, la Bondrée apivore et de nombreux anatidés (canards). Largement exploitées par les carriers pour en extraire les matériaux nécessaires à la fourniture de granulats principalement pour la construction d’infrastructures routières, les boucles de la Seine ont subi de multiples réaménagements au fil du temps. Aujourd’hui, les objectifs sont de préserver cet espace et de maintenir une mosaïque de milieux entre espaces boisés composés d’essences locales, espaces herbacés et étangs.

Siehe auch

Commons: Regionaler Naturpark Causses du Quercy – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien