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Discussion:Extreme programming

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Le graphique "Le cycle de l'Extreme Programming" est intéressant mais trop large. Sur mon écran 1000x700, je ne l'ai pas en entier. Et tt le monde n'a pas cette résolution. --FvdP 12 nov 2003 à 20:24 (CET)

Très bonne remarque... Traroth 12 nov 2003 à 20:29 (CET)
Voila, je l'ai passé de 1080 à 750 de large. C'est mieux (suffisant) ? Ca devrait même aller en 800x600, là, je crois, en supposant que quelqu'un utilise encore cette résolution.
Merci ! (il y a aussi ceux qui ne mettent pas leur browser en plein écran...)

Fondement ?

Ce qui est présenté ici sous le nom d'"extreme programming" ressemble étrangement à ce qui est fait depuis longtemps en développement de logiciel depuis l'apparition des méthodes objet. D'où question : l'appellation a-t-elle un fondement, où s'agit-il juste d'une tentative marketing de quelques professionnells et/ou universitaires pour essayer de se faire de la pub ?

Détaillons :

  • La communication : c'est le moyen fondamental d'éviter les erreurs. Le moyen à privilégier est la conversation directe, en face à face. Les moyens écrits ne sont que des supports et des moyens de mémorisation ;

On n'a jamais vu de cycle de développement ne comprenant pas de très fréquents meetings, même au plein coeur des années 60.

  • Le courage : il est nécessaire à tous les niveaux et de la part de tous les intervenants, notamment chez les développeurs (quand des changements surviennent à un stade avancé du projet, ou quand des défauts apparaissent) et chez le client (qui doit pouvoir prioriser ses demandes) ;

L'habitude prise depuis les années 70 face à quelques clients indélicats et mauvais payeurs a été de garder avec le client un contact aussi étroit que possible afin d'éviter les malentendus, et surtout de présenter lors de meetings suivis de compte-rendus écrits (en lui faisant signer le compte-rendu) toute déviation même mineure aux plans initiaux.

  • Le retour d'information (feedback) : les itérations sont basées sur les retours d'informations du client, permettant une adéquation totale entre l'application finale et sa demande ;

Il n'est tout simplement pas possible de travailler autrement, et depuis au moins 30 ans.

  • La simplicité : en Extreme Programming, la façon la plus simple d'arriver à un résultat est la meilleure. Prévoir préalablement des évolutions futures n'a pas de sens.

C'est précisément ce qui a amené à introduire les méthodes objet dès que Simula a commencé à être un peu connu, donc à partir de... 1967 !

212.198.57.87 3 oct 2004 à 09:02 (CEST)