Valentine Python
Valentine Python | |
![]() Portrait officiel, 2019. | |
Fonctions | |
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Conseillère nationale | |
En fonction depuis le (5 ans, 7 mois et 20 jours) |
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Législature | 51e (2019-2023) |
Prédécesseur | Adèle Thorens Goumaz |
Conseillère communale de La Tour-de-Peilz | |
– (1 an) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Neuchâtel (Suisse) |
Nationalité | ![]() |
Parti politique | Les Verts |
Diplômé de | Université de Neuchâtel École polytechnique fédérale de Lausanne |
Profession | Femme politique |
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Valentine Python, née le à Neuchâtel, est une climatologue et personnalité politique suisse, membre des Verts.
Biographie
Valentine Python est née le à Neuchâtel[1].
Valentine Python a fait des études à l'Université de Neuchâtel et a reçu un doctorat de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (sous la direction de Martine Rebetez). Elle est spécialiste des de climatologie et des sciences de l'environnement.
Elle a une vie professionnelle variée de collaboratrice scientifique, formatrice en éducation au développement durable, conférencière, consultante et enseignante[2].
Parcours politique
En 2018, membre des Verts, elle est élue au Conseillère communale (législatif) de La Tour-de-Peilz[3]. Elle a été choisie comme présidente du groupe des Verts de la Riviera et du Pays d'Enhaut lors de l'assemblée générale 2019. Après son élection inattendue au Conseil national, elle abandonne cette présidence qu'elle a assumée durant quelques mois seulement[4].
Conseillère nationale
Lors des élections fédérales suisses de 2019, elle est candidate au Conseil national et arrive première des « viennent-ensuite » le 20 octobre 2019[2]. Elle n'était qu'en treizième position sur la liste des Verts et attribue son arrivée en cinquième position à sa formation en climatologie[2]. Elle entre au Conseil national à la suite de l'élection d'Adèle Thorens Goumaz au Conseil des États, le dimanche 10 novembre 2019.
Notes et références
- ↑ « Biographie de Valentine Python », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse..
- Vincent Maendly, « Une passeuse de science invitée surprise dans l'arène politique », 24 heures, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Stéphanie Arboit, « Premier coup de gueule de Valentine Python », 24 heures, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Sophie Dupont, « Un regard scientifique sous la Coupole », Le Courrier, (lire en ligne)