https://de.wikipedia.org/w/api.php?action=feedcontributions&feedformat=atom&user=LabredeWikipedia - Benutzerbeiträge [de]2025-05-06T08:49:03ZBenutzerbeiträgeMediaWiki 1.44.0-wmf.27https://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Gaston_Billotte&diff=98653425Gaston Billotte2007-11-08T21:08:12Z<p>Labrede: a renommé Gaston Bilotte en Gaston Billotte: ortograf</p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
Le général Gaston Billotte était le chef du 1er Groupe d'Armées pendant la [[bataille de France]] et la [[percée de Sedan]] en mai-juin 1940. Il est le père de [[Pierre Billotte]], général et homme politique français.<br />
<br />
[[Catégorie:Militaire français|Billotte, Gaston]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Gaston_Billotte&diff=98653424Gaston Billotte2007-11-08T21:06:09Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
Le général Gaston Billotte était le chef du 1er Groupe d'Armées pendant la [[bataille de France]] et la [[percée de Sedan]] en mai-juin 1940. Il est le père de [[Pierre Billotte]], général et homme politique français.<br />
<br />
[[Catégorie:Militaire français|Billotte, Gaston]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Gaston_Billotte&diff=98653423Gaston Billotte2007-11-08T21:05:56Z<p>Labrede: Nouvelle page : {{ébauche personne}} Le général Gaston Billotte était le chef du 1er Groupe d'Armées pendant la bataille de France et la percée de Sedan en mai-juin 1940. Il est le p...</p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
Le général Gaston Billotte était le chef du 1er Groupe d'Armées pendant la [[bataille de France]] et la [[percée de Sedan]] en mai-juin 1940. Il est le père de [[Pierre Billotte]], général et homme politique français.<br />
<br />
[[Gatégorie:Militaire français|Billotte, Gaston]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Les_Gracques&diff=169819533Les Gracques2007-10-30T15:18:29Z<p>Labrede: /* Membres supposés */</p>
<hr />
<div>{{Voir homonymes|Gracques (homonymie)}}<br />
{{ébauche politique}}<br />
<br />
Les Gracques est « un groupe de réflexion et de pression » qui souhaite une rénovation de la gauche française autour de valeurs [[Social-libéralisme|sociales-libérales]].<br />
<br />
==Création du groupe==<br />
<br />
Pendant la [[élection présidentielle française de 2007|campagne présidentielle française de 2007]], un groupe informel d'anciens hauts fonctionnaires socialistes signent sous le pseudonyme ''Gracques''<ref>Le Point, 22 mars 2007</ref> un appel à une alliance [[Parti socialiste (France)|PS]]-[[Union pour la démocratie française|UDF]]. L'usage de ce pseudonyme supporte leur souhait de réforme.<br />
<br />
==Formalisation et élargissement du groupe==<br />
<br />
Suite à la défaite des socialistes à l'[[élection présidentielle française de 2007]], ce groupe a formalisé son existence en tant que groupe de réflexion et de pression afin de participer à la rénovation de la gauche française. Ceci s'est traduit par la création d'une association loi de 1901 et la publication d'un manifeste<ref>[http://www.lesgracques.fr/web/content/view/24/36/ Manifeste pour une gauche moderne]</ref>. Il est dès lors possible d'adhérer à l'association.<br />
<br />
==Valeurs==<br />
<br />
L'option politique défendue par les Gracques provient largement d'un constat (réel ou supposé) d'inadéquation entre le projet d'état-providence d'inspiration keynésienne défendu traditionnellement par le parti socialiste et la société actuelle marquée par la mondialisation et la construction européenne.<br />
<br />
Le projet des Gracques est donc une tentative de synthèse entre les valeurs d'équité et de défense des plus pauvres de la gauche, et une acceptation assumée de l'économie de marché, de l'ouverture économique. On peut rapprocher ce projet de la [[Troisième voie (politique)|troisième voie]] britannique.<br />
<br />
Les Gracques se définissent dans leur manifeste comme : démocrates, libéraux, [[Intégration (sociologie)|intégrateurs]] (par opposition au [[Communautarisme identitaire|communautarisme]]), travaillistes, favorables à la régulation étatique, favorables à la redistribution des richesses, progressistes, défenseurs de l'éducation, favorables au droit à la sureté, écologistes, pro-européens, internationalistes, moraux, réalistes, favorables à une transformation de la société.<br />
<br />
==Origine du nom==<br />
<br />
[[Tibérius Sempronius Gracchus]] et son frère [[Caius Sempronius Gracchus]] surnommés les '''[[Gracques]]''' sont deux hommes d'État [[Rome antique|romains]]. Issus de la ''nobilitas'' [[plèbe|plébéienne]], ils sont renommés pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain.<br />
<br />
==Membres supposés==<br />
<br />
Parmi la vingtaine de membres, on trouve, d'après la presse : [[Jean-Pierre Jouyet]] jusqu'à la date de son entrée au gouvernement, [[Denis Olivennes]], [[Roger Godino]], [[Matthieu Pigasse]], [[Ariane Obolensky]], [[Bernard Spitz]], [[Guillaume Hannezo]], [[François Villeroy de Galhau]], [[Gilles de Margerie]]. Ils se sont depuis progressivement élargis à des universitaires, chercheurs, artistes et représentants du secteur associatif.<br />
<br />
==Université d'été==<br />
<br />
Les Gracques ont organisé leur première université d'été à Paris le 26 août 2007 avec de nombreux intervenants prestigieux comme [[Michel Rocard]], [[Anthony Giddens]], [[Walter Veltroni]], [[Peter Mandelson]] et [[François Chérèque]]. Ils souhaitent engager le travail de rénovation de la gauche française en mobilisant la société civile et en utilisant leur site internet.<br />
<br />
==Voir aussi==<br />
<br />
* Les [[Gracques]] de la Rome antique.<br />
<br />
=== Liens externes ===<br />
* [http://www.lesgracques.fr Site officiel du groupe des Gracques]<br />
<br />
==Références==<br />
<references/><br />
<br />
{{portail politique}}<br />
<br />
[[Catégorie:Association ou organisme de réflexion]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Les_Gracques&diff=169819532Les Gracques2007-10-30T15:18:13Z<p>Labrede: /* Origine du nom */</p>
<hr />
<div>{{Voir homonymes|Gracques (homonymie)}}<br />
{{ébauche politique}}<br />
<br />
Les Gracques est « un groupe de réflexion et de pression » qui souhaite une rénovation de la gauche française autour de valeurs [[Social-libéralisme|sociales-libérales]].<br />
<br />
==Création du groupe==<br />
<br />
Pendant la [[élection présidentielle française de 2007|campagne présidentielle française de 2007]], un groupe informel d'anciens hauts fonctionnaires socialistes signent sous le pseudonyme ''Gracques''<ref>Le Point, 22 mars 2007</ref> un appel à une alliance [[Parti socialiste (France)|PS]]-[[Union pour la démocratie française|UDF]]. L'usage de ce pseudonyme supporte leur souhait de réforme.<br />
<br />
==Formalisation et élargissement du groupe==<br />
<br />
Suite à la défaite des socialistes à l'[[élection présidentielle française de 2007]], ce groupe a formalisé son existence en tant que groupe de réflexion et de pression afin de participer à la rénovation de la gauche française. Ceci s'est traduit par la création d'une association loi de 1901 et la publication d'un manifeste<ref>[http://www.lesgracques.fr/web/content/view/24/36/ Manifeste pour une gauche moderne]</ref>. Il est dès lors possible d'adhérer à l'association.<br />
<br />
==Valeurs==<br />
<br />
L'option politique défendue par les Gracques provient largement d'un constat (réel ou supposé) d'inadéquation entre le projet d'état-providence d'inspiration keynésienne défendu traditionnellement par le parti socialiste et la société actuelle marquée par la mondialisation et la construction européenne.<br />
<br />
Le projet des Gracques est donc une tentative de synthèse entre les valeurs d'équité et de défense des plus pauvres de la gauche, et une acceptation assumée de l'économie de marché, de l'ouverture économique. On peut rapprocher ce projet de la [[Troisième voie (politique)|troisième voie]] britannique.<br />
<br />
Les Gracques se définissent dans leur manifeste comme : démocrates, libéraux, [[Intégration (sociologie)|intégrateurs]] (par opposition au [[Communautarisme identitaire|communautarisme]]), travaillistes, favorables à la régulation étatique, favorables à la redistribution des richesses, progressistes, défenseurs de l'éducation, favorables au droit à la sureté, écologistes, pro-européens, internationalistes, moraux, réalistes, favorables à une transformation de la société.<br />
<br />
==Origine du nom==<br />
<br />
[[Tibérius Sempronius Gracchus]] et son frère [[Caius Sempronius Gracchus]] surnommés les '''[[Gracques]]''' sont deux hommes d'État [[Rome antique|romains]]. Issus de la ''nobilitas'' [[plèbe|plébéienne]], ils sont renommés pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain.<br />
<br />
==Membres supposés==<br />
<br />
Parmi la vingtaine de membres, on trouve, d'après la presse : [[Jean-Pierre Jouyet]] jusqu'à la date de son entrée au gouvernement, [[Denis Olivennes]], [[Roger Godino]], [[Mathieu Pigasse]], [[Ariane Obolensky]], [[Bernard Spitz]], [[Guillaume Hannezo]], [[François Villeroy de Galhau]], [[Gilles de Margerie]]. Ils se sont depuis progressivement élargis à des universitaires, chercheurs, artistes et représentants du secteur associatif.<br />
<br />
==Université d'été==<br />
<br />
Les Gracques ont organisé leur première université d'été à Paris le 26 août 2007 avec de nombreux intervenants prestigieux comme [[Michel Rocard]], [[Anthony Giddens]], [[Walter Veltroni]], [[Peter Mandelson]] et [[François Chérèque]]. Ils souhaitent engager le travail de rénovation de la gauche française en mobilisant la société civile et en utilisant leur site internet.<br />
<br />
==Voir aussi==<br />
<br />
* Les [[Gracques]] de la Rome antique.<br />
<br />
=== Liens externes ===<br />
* [http://www.lesgracques.fr Site officiel du groupe des Gracques]<br />
<br />
==Références==<br />
<references/><br />
<br />
{{portail politique}}<br />
<br />
[[Catégorie:Association ou organisme de réflexion]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Thierry_de_Montbrial&diff=158947484Thierry de Montbrial2006-05-09T17:21:34Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
'''Thierry René Henri Magloire de Montbrial''' est le fils de François de Montbrial, inspecteur général de la Banque de France, et de Monique Lecuyer-Corthis. Il épouse en 1967 Marie-Christine Balling, productrice de cinéma et fille de Charles Paul Louis BALLING (né en 1912 ; X 1935). Il est le père de [[Thibault de Montbrial]], avocat, et de Alexandra de Montbrial. <br />
<br />
'''Thierry de Montbrial''' est président de l'[[institut français de relations internationales]] (IFRI).<br />
<br />
== Parcours ==<br />
<br />
'''Thierry de Montbrial''' est diplomé de [[Polytechnique]] (1963) et de l'[[École des Mines]] (1966) et membre du [[Corps des mines]]. Il est également docteur en économie (PhD) de l'[[Université Stanford]] (Californie, États-Unis).<br />
<br />
Ingénieur général des mines (honoraire depuis 1995), membre de l'Institut. Il est le fondateur du département d'économie de l'École polytechnique dont il fut le président jusqu'en 1992. Il est directeur de la revue "Politique étrangère" et est professeur de sciences économiques à l'École polytechnique. Il est membre de l'Académie des Sciences Morales et Politiques depuis 1992. <br />
<br />
Il est le fondateur et directeur de l'Institut français des relations internationales (IFRI)qui publie le rapport annuel "Ramsès". <br />
<br />
Invité à la réunion [[Bilderberg]] en 1975-91-94-95-96-97-2000-2001-2003-2004-2005<br />
<br />
Il dirigea le [[Centre d’analyse et de prévision]] (CAP) du Ministère des affaires étrangères avant [[Jean-Louis Gergorin]].<br />
<br />
[[Catégorie:Académie des sciences morales et politiques|Montbrial, Thierry de]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Thierry_de_Montbrial&diff=158947483Thierry de Montbrial2006-05-09T17:21:11Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
'''Thierry René Henri Magloire de Montbrial''' est le fils de François de Montbrial, inspecteur général de la Banque de France, et de Monique Lecuyer-Corthis. Il épouse en 1967 Marie-Christine Balling, productrice de cinéma et fille de Charles Paul Louis BALLING (né en 1912 ; X 1935). Il est le père de [[Thibault de Montrbial]], avocat, et de Alexandra de Montbrial. <br />
<br />
'''Thierry de Montbrial''' est président de l'[[institut français de relations internationales]] (IFRI).<br />
<br />
== Parcours ==<br />
<br />
'''Thierry de Montbrial''' est diplomé de [[Polytechnique]] (1963) et de l'[[École des Mines]] (1966) et membre du [[Corps des mines]]. Il est également docteur en économie (PhD) de l'[[Université Stanford]] (Californie, États-Unis).<br />
<br />
Ingénieur général des mines (honoraire depuis 1995), membre de l'Institut. Il est le fondateur du département d'économie de l'École polytechnique dont il fut le président jusqu'en 1992. Il est directeur de la revue "Politique étrangère" et est professeur de sciences économiques à l'École polytechnique. Il est membre de l'Académie des Sciences Morales et Politiques depuis 1992. <br />
<br />
Il est le fondateur et directeur de l'Institut français des relations internationales (IFRI)qui publie le rapport annuel "Ramsès". <br />
<br />
Invité à la réunion [[Bilderberg]] en 1975-91-94-95-96-97-2000-2001-2003-2004-2005<br />
<br />
Il dirigea le [[Centre d’analyse et de prévision]] (CAP) du Ministère des affaires étrangères avant [[Jean-Louis Gergorin]].<br />
<br />
[[Catégorie:Académie des sciences morales et politiques|Montbrial, Thierry de]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Thierry_de_Montbrial&diff=158947482Thierry de Montbrial2006-05-09T17:10:09Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche personne}}<br />
<br />
'''Thierry de Montbrial''' est président de l'[[institut français de relations internationales]] (IFRI).<br />
<br />
Diplomé de [[Polytechnique]] et de l'[[École des Mines]], il est également docteur en économie ([[Université de Berkeley]], Californie, États-Unis).<br />
<br />
Invité à la réunion [[Bilderberg]] en 1975-91-94-95-96-97-2000-2001-2003-2004-2005<br />
<br />
Ancien directeur du [[Centre d’analyse et de prévision]] (CAP) du Ministère des affaires étrangères auquel participa [[Jean-Louis Gergorin]], [[Dominique de Villepin]] et [[Philippe Rondot]].<br />
<br />
[[Catégorie:Académie des sciences morales et politiques|Montbrial, Thierry de]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=Benutzer:Leo067/Denis_Ranque&diff=177041312Benutzer:Leo067/Denis Ranque2006-05-08T19:23:05Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>Né le 7 janvier [[1952]], Denis Ranque est diplômé de l'[[Ecole Polytechnique (France)|Ecole Polytechnique]] (X1970) et ingénieur du Corps des Mines.<br />
<br />
Après un début de carrière au Ministère de l'Industrie où il a occupé diverses fonctions dans le domaine de l'[[énergie]], il est entré dans le [[Thomson CSF|Groupe Thomson]] en [[1983]] comme directeur du Plan. L'année suivante, il est nommé directeur des affaires spatiales de la division Tubes Electroniques.<br />
<br />
En 1986, il devient directeur du département Tubes Hyperfréquences de la division filialisée en [[1988]] sous le nom de Thomson Tubes Electroniques (TTE). En [[1989]], il est nommé directeur général de [[TTE]], puis, en [[1991]] président-directeur général.<br />
<br />
En avril [[1992]], Denis Ranque devient président-directeur général de Thomson Sintra Activités Sous-Marines. Quatre ans plus tard, [[Thomson-CSF]] et GEC-Marconi le nomment à la direction générale de la société commune qu'ils créent dans le domaine des systèmes [[sonar]]s, Thomson Marconi Sonar.<br />
<br />
Depuis janvier [[1998]], Denis Ranque est président-directeur général de Thomson-CSF, dont le nom est maintenant [[Thales]].<br />
<br />
Depuis octobre [[2001]], il est également président du Conseil d'Administration de l'[[Ecole Nationale Supérieure des Mines de Paris]], et depuis septembre [[2002]], président du Cercle de l'Industrie, association réunissant les plus grandes entreprises industrielles françaises.<br />
<br />
Denis Ranque est marié et père de cinq enfants.<br />
<br />
==Source==<br />
[http://www.csti.pm.gouv.fr Conseil Stratégique des Technologies de l'information]<br />
<br />
[[Catégorie:Électronique|Ranque, Denis]]<br />
[[Catégorie:Industriel français|Ranque, Denis]]<br />
[[Catégorie:Polytechnicien|Ranque, Denis]]<br />
<br />
[[en:Denis Ranque]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=LRA-Konflikt&diff=93333345LRA-Konflikt2006-05-06T19:42:36Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche}}<br />
<br />
La guerre civile ougandaise a débuté en 1986. Environ 2 millions de personnes sont déplacées par ce conflit, et environ 1,7 million d'entre elles vivent dans des camps où elles dépendent de l'aide humanitaire. Selon un rapport d'ONG publié fin mars 2006, 146 personnes en moyenne meurent chaque semaine de façon violente dans le nord de l'Ouganda.<br />
<br />
Le secrétaire général adjoint de l'[[ONU]] chargé des affaires humanitaires [[Jan Egeland]] a qualifié récemment la guerre civile en Ouganda de "crise humanitaire la plus négligée du monde". La LRA, qui sévit dans le nord du pays depuis 20 ans, est connue pour ses atrocités sur les civils. <br />
<br />
L''''Armée de résistance du Seigneur''' (LRA pour ''Lord's Resistance Army'') est un mouvement rebelle en [[Ouganda]], créé en [[1988]], deux ans après le déclenchement de la Guerre civile en Ouganda.<br />
<br />
La LRA entend renverser le président ougandais, [[Yoweri Museveni]] pour mettre en place un régime basé sur les [[Dix Commandements]] de la [[Bible]]. Son chef est [[Joseph Kony]]. La LRA est placée aux Etats-Unis sur la liste des organisations terroristes. <br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
[[Catégorie:Guerre]]<br />
[[Catégorie:Guerre civile]]<br />
[[Catégorie:Guerre contemporaine]]<br />
[[Catégorie:Guerre oubliée]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=LRA-Konflikt&diff=93333343LRA-Konflikt2006-05-06T19:35:14Z<p>Labrede: a déplacé Guerre civile en Ouganda vers Guerre civile ougandaise: ortho</p>
<hr />
<div>{{ébauche}}<br />
<br />
L''''Armée de résistance du Seigneur''' (LRA pour ''Lord's Resistance Army'') est un mouvement rebelle en [[Ouganda]], créé en [[1988]], deux ans après le déclenchement de la [[Guerre civile en Ouganda]].<br />
<br />
La LRA entend renverser le président ougandais, [[Yoweri Museveni]] pour mettre en place un régime basé sur les [[Dix Commandements]] de la [[Bible]]. Son chef est [[Joseph Kony]]. La LRA est placée aux Etats-Unis sur la liste des organisations terroristes. <br />
<br />
== Guerre civile ougandaise ==<br />
<br />
La guerre civile ougandaise a débuté en 1986. Environ 2 millions de personnes sont déplacées par ce conflit, et environ 1,7 million d'entre elles vivent dans des camps où elles dépendent de l'aide humanitaire. Selon un rapport d'ONG publié fin mars 2006, 146 personnes en moyenne meurent chaque semaine de façon violente dans le nord de l'Ouganda.<br />
<br />
Le secrétaire général adjoint de l'Onu chargé des affaires humanitaires Jan Egeland a qualifié récemment la [[guerre civile en Ouganda]] de "crise humanitaire la plus négligée du monde". La LRA, qui sévit dans le nord du pays depuis 20 ans, est connue pour ses atrocités sur les civils. <br />
<br />
[[Catégorie:Guerre]]<br />
[[Catégorie:Guerre civile]]<br />
[[Catégorie:Guerre contemporaine]]<br />
[[Catégorie:Guerre oubliée]]</div>Labredehttps://de.wikipedia.org/w/index.php?title=LRA-Konflikt&diff=93333342LRA-Konflikt2006-05-06T19:34:21Z<p>Labrede: </p>
<hr />
<div>{{ébauche}}<br />
<br />
L''''Armée de résistance du Seigneur''' (LRA pour ''Lord's Resistance Army'') est un mouvement rebelle en [[Ouganda]], créé en [[1988]], deux ans après le déclenchement de la [[Guerre civile en Ouganda]].<br />
<br />
La LRA entend renverser le président ougandais, [[Yoweri Museveni]] pour mettre en place un régime basé sur les [[Dix Commandements]] de la [[Bible]]. Son chef est [[Joseph Kony]]. La LRA est placée aux Etats-Unis sur la liste des organisations terroristes. <br />
<br />
== Guerre civile ougandaise ==<br />
<br />
La guerre civile ougandaise a débuté en 1986. Environ 2 millions de personnes sont déplacées par ce conflit, et environ 1,7 million d'entre elles vivent dans des camps où elles dépendent de l'aide humanitaire. Selon un rapport d'ONG publié fin mars 2006, 146 personnes en moyenne meurent chaque semaine de façon violente dans le nord de l'Ouganda.<br />
<br />
Le secrétaire général adjoint de l'Onu chargé des affaires humanitaires Jan Egeland a qualifié récemment la [[guerre civile en Ouganda]] de "crise humanitaire la plus négligée du monde". La LRA, qui sévit dans le nord du pays depuis 20 ans, est connue pour ses atrocités sur les civils. <br />
<br />
[[Catégorie:Guerre]]<br />
[[Catégorie:Guerre civile]]<br />
[[Catégorie:Guerre contemporaine]]<br />
[[Catégorie:Guerre oubliée]]</div>Labrede